WOMEN FIRST

3 conseils signés Christine Lagarde ! ⬇️ Christine Lagarde vient de recevoir le prix du Leadership au Sommet Mondial des Femmes 2025 ! 🙌 𝗦𝗲𝘀 𝟯 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹𝘀 : 1- Prenez des risques 2- Ne vous sous-estimez pas 3- Ayez une vision long terme Selon Christine Lagarde, nous avons progressé en matière d'égalité des genres, mais mieux n'est pas suffisant. Selon elle toujours : ▶️ L'inégalité entre les genres persiste dans bien trop de secteurs Les femmes doivent s'attacher à occuper leur juste place dans les emplois et les professions qui définiront l'avenir. ▶️ Nous avons besoin de plus d'entrepreneurs en Europe, mais nous n'exploitons pas pleinement le talent féminin Seulement 11% des start-ups de l'UE sont dirigées par des femmes. 𝗔 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗱𝗼𝗻𝗰 : 👉 Ne vous sous-estimez pas 👉 Ayez une vision long terme 👉 Prenez des risques !

Le 17 juillet 1979, il y a 46 ans, Simone Veil était élue première femme Présidente du Parlement européen. ⬇️ Simone Veil fut alors une pionnière qui a fait entrer le Parlement européen dans une nouvelle ère de démocratie. Elle avait été élue première femme Présidente du Parlement européen et, plus largement, d’une institution de l’Union européenne. Depuis, le Parlement a adopté de nombreuses lois visant à renforcer le rôle des femmes dans la prise de décision. Aujourd’hui, le Parlement souhaite permettre aux eurodéputé·es enceintes ou ayant accouché de déléguer leur droit de vote à un·e autre membre. Roberta Metsola, Présidente du Parlement européen « Aucune démocratie ne devrait jamais pénaliser des représentants élus pour avoir choisi de fonder une famille. La représentation ne devrait jamais se faire au détriment de la parentalité. » La mission de Women First ? 💡 Transformer notre société par la place des femmes. Envie d'agir ? 👥 Cliquez sur "Suivre" et rejoignez notre communauté engagée 👈 Ne ratez rien ! 🔔 Activez la cloche 🔔 pour recevoir toutes nos actualités. Vous pensez à quelqu'un ? 💬 Identifiez-la/le en commentaire pour partager l'inspiration !

Découvrez celle qui a transformé la compassion en révolution silencieuse. ⬇️ Mère Teresa, de son vrai nom Agnès Gonxha Bojaxhiu, est née le 27 août 1910, à Skopje (alors en Albanie, aujourd'hui en Macédoine du Nord). Elle est connue pour son engagement auprès des plus nécessiteux. Élevée dans un contexte religieux, elle entre chez les Sœurs de Notre-Dame de Lorette à Rathfarnham, en Irlande en 1928, à l'âge de 18 ans. 𝗗𝗲́𝗯𝘂𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝗮 𝘃𝗶𝗲 𝗿𝗲𝗹𝗶𝗴𝗶𝗲𝘂𝘀𝗲 𝗲𝗻 𝗜𝗻𝗱𝗲 : Elle est envoyée en Inde pour y faire son noviciat et devient enseignante de géographie au collège Sainte-Marie à Calcutta. Le 10 septembre 1946, elle ressent ce qu'elle décrit être un appel divin à servir les pauvres; ce jour est connu comme le "jour de l'inspiration". 𝗙𝗼𝗻𝗱𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗠𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗵𝗮𝗿𝗶𝘁𝗲́ 👉 En 1948 : sa vocation l'amène à fonder, avec l'approbation du Pape, la congrégation des Missionnaires de la Charité, dédiée aux "plus pauvres parmi les pauvres" 👉 La même année : elle ouvre sa première école dans un jardin public de Calcutta pour des enfants abandonnés 👉 En 1952 : elle inaugure la "Maison du Cœur pur", un lieu pour les mourants sans-abri 𝗘𝘅𝗽𝗮𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝘀𝗼𝗻 œ𝘂𝘃𝗿𝗲 : Officiellement reconnue en 1950, la congrégation se développe à travers l'Inde et le monde entier; des centres sont ouverts en Amérique latine, en Europe, et en Union soviétique. Mère Teresa se consacre à l'aide des lépreux, des pauvres, et des mourants, fondant des cliniques mobiles et des centres d'accueil. Elle utilise son influence pour faire pression sur des dirigeants politiques, comme le président Reagan ou le premier ministre pakistanais, pour venir en aide aux nécessiteux. 𝗥𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝘂𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘀𝗼𝗻 œ𝘂𝘃𝗿𝗲 : Elle reçoit le prix Nobel de la paix en 1979 pour son travail humanitaire. De nombreux autres prix lui sont décernés, tels que le prix Jean-XXIII pour la paix. 𝗖𝗼𝗻𝘁𝗿𝗼𝘃𝗲𝗿𝘀𝗲𝘀 : Malgré son image de sainte, des universitaires et journalistes remettent en question certains aspects de son œuvre. En effet, des critiques émergent concernant ses pratiques de soins jugées insuffisantes et son approche de la souffrance. Certains accusent ses contacts politiques douteux et sa gestion financière ne bénéficiant que très peu aux plus nécessiteux. Son opposition rigide à l'avortement et à la contraception a également suscité des débats. 𝗙𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲 𝗲𝘁 𝗵𝗲́𝗿𝗶𝘁𝗮𝗴𝗲 : En raison de son âge, elle propose de démissionner en 1990 mais reste réélue à l'unanimité comme supérieure des Missionnaires de la Charité. Elle décède le 5 septembre 1997, laissant derrière elle une œuvre de charité immense. Son ordre continue de prospérer à travers le monde avec plus de 400 centres. La mission de Women First ? 💡 Transformer notre société par la place des femmes.

[ 𝐑𝐎𝐋𝐄 𝐌𝐎𝐃𝐄𝐋𝐄 ] En ce 16 juillet, rendons hommage à Jane Birkin, décédée il y a 2 ans, en 2023, à l'âge de 76 ans. 🕊️ 𝐉𝐚𝐧𝐞 𝐁𝐢𝐫𝐤𝐢𝐧, symbole de la femme libre. Née à Londres en 1946, elle s’est installée en France à la fin des années 1960. La jeune Anglaise marque les esprits avec un look presque révolutionnaire pour l’époque. Son style androgyne fait d’elle une rebelle de la mode, incarnation parfaite du courant bohème chic des années 1960. Sa carrière artistique décolle en 1966 lorsqu'elle fait ses débuts au cinéma dans le film "Blow-Up" de Michelangelo Antonioni. Elle rencontre ensuite 𝐒𝐞𝐫𝐠𝐞 𝐆𝐚𝐢𝐧𝐬𝐛𝐨𝐮𝐫𝐠. Ils vont former ensemble un couple iconique, qui la propulsera au sommet du hit-parade en 1969 avec l’inoubliable duo « Je t’aime… moi non plus ». Ils auront tous les deux une fille, Charlotte, née en 1971. Jane Birkin va importer dans le cinéma populaire français ce vent d'insouciance et de liberté venu d'outre-Manche. Dans « Les chemins de Katmandou » d'André Cayatte, elle s'appelle Jane et invente son personnage de jeune hippie. De cette époque reste surtout son apparition fulgurante dans les reflets de « La Piscine » de Jacques Deray (1969) Des bras de Brigitte Bardot dans « 𝐃𝐨𝐧 𝐉𝐮𝐚𝐧 𝟕𝟑 », à ceux de Joe d'Alessandro dans « 𝐉𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞, 𝐦𝐨𝐢 𝐧𝐨𝐧 𝐩𝐥𝐮𝐬 », Jane l'Anglaise fut bien l'un des plus grands sex-symbols du cinéma français. Elle inspire à Hermès un modèle de sac baptisé « Birkin ». L’accessoire fait pour les jeunes mamans est aujourd’hui l’un des objets les plus convoités au monde, avec des prix pouvant aller jusqu’à 40 000€. Pour autant, l’artiste a toujours son mot à dire sur son image. C’est pourquoi en 2015, Jane Birkin demande à Hermès de débaptiser le sac à son nom, en attendant un meilleur traitement des crocodiles dont la peau est utilisée pour sa fabrication. Depuis ses premières apparitions en 1962, elle n’a jamais hésité à prendre position. Enfant, elle milite dans les rues de Londres contre la peine de mort et s’engage pour le droit à l’avortement dans les années 1970. L’artiste s’envole ensuite vers la Yougoslavie, soutient Aung San Suu Kyi en Birmanie, dénonce la guerre en Syrie et son Président Bachar Al-Assad. En France, elle s’engage pour les sans-papiers et contre la montée du Front National en 2002 et 2017. Jane Birkin s'investit dans des actions humanitaires, devenant porte-parole pour Amnesty International ; la marraine du Téléthon français en 2001 ; et participe quatre fois au Concert des Enfoirés. Consciente des urgences environnementales, elle avait appelé le gouvernement à faire du réchauffement climatique sa priorité dans une tribune publiée au Monde en 2018. À mille lieues de la muse éternelle de Gainsbourg, Jane Birkin s'affirmait en 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐭𝐞 et digne avec un vécu et une autorité.

[ 𝐑𝐎𝐋𝐄 𝐌𝐎𝐃𝐄𝐋𝐄 ] : En ce 13 juillet, rendons hommage à Frida Kahlo, décédée il 71 ans, au Mexique, à l'âge de 47 ans. 🕊️ Magdalena Frida Carmen Kahlo Calderón, connue sous le nom de Frida Kahlo, est une artiste peintre mexicaine née le 6 juillet 1907 à Coyoacán, Mexico, et décédée au même endroit le 13 juillet 1954. Sa vie et son œuvre sont profondément marquées par une série de souffrances physiques et émotionnelles, transformées en un moteur puissant de création artistique. Frida Kahlo contracte la poliomyélite à l'âge de six ans, une maladie qui laisse sa colonne vertébrale et sa jambe droite affaiblies, la rendant boiteuse et la cible de moqueries dans son village. 𝗔𝗺𝗯𝗶𝘁𝗶𝗲𝘂𝘀𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲́𝘁𝗲𝗿𝗺𝗶𝗻𝗲́𝗲, elle intègre une école préparatoire prestigieuse en 1922 avec l'espoir de devenir médecin, une ambition rare pour une jeune femme dans le Mexique machiste de l'époque. Cependant, en 1925, un 𝗮𝗰𝗰𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗯𝘂𝘀 change le cours de sa vie : elle subit de graves blessures, notamment à la colonne vertébrale, qui la contraignent à rester alitée pendant de longs mois. C'est durant cette période qu'elle commence à peindre, utilisant un miroir placé au-dessus de son lit pour réaliser ses premiers autoportraits. En 1929, Frida Kahlo épouse Diego Rivera, 𝘂𝗻 𝗽𝗲𝗶𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗺𝘂𝗿𝗮𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗼𝗺𝗺𝗲́. La peinture de Frida Kahlo est profondément autobiographique, mêlant des éléments de sa vie personnelle, de sa souffrance physique et émotionnelle, et des symboles tirés de la culture mexicaine. Elle crée un style unique, souvent associé au surréalisme bien qu'elle insiste sur le fait qu'elle ne peint pas ses rêves mais sa propre réalité. Parmi ses œuvres les plus connues figurent "𝗙𝗿𝗶𝗲𝗱𝗮 𝗲𝘁 𝗗𝗶𝗲𝗴𝗼 𝗥𝗶𝘃𝗲𝗿𝗮" (1931), "𝗤𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗽𝗲𝘁𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗽𝗶𝗾𝘂̂𝗿𝗲𝘀" (1935), et "𝗟𝗮 𝗖𝗼𝗹𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗯𝗿𝗶𝘀𝗲́𝗲" (1944). Les années 1930 voient le couple s'installer aux États-Unis, où Rivera reçoit de grandes commandes pour ses fresques murales. Pendant ce temps, Kahlo subit deux fausses couches, une expérience dévastatrice qui influence profondément son art. Son tableau "𝗛𝗲𝗻𝗿𝘆 𝗙𝗼𝗿𝗱 𝗛𝗼𝘀𝗽𝗶𝘁𝗮𝗹 𝗼𝘂 𝗹𝗲 𝗹𝗶𝘁 𝘃𝗼𝗹𝗮𝗻𝘁" (1932) en est une expression poignante. En 1938, grâce à André Breton, elle expose à New York et rencontre un succès commercial. La maison bleue de Kahlo, la Casa Azul à Coyoacán, devient un sanctuaire de son univers créatif, abritant ses œuvres et une vaste collection d'art populaire mexicain. Aujourd'hui, cette maison est un musée dédié à sa mémoire. Frida Kahlo meurt d'une pneumonie en 1954. Elle laisse derrière elle une œuvre riche de 143 tableaux, dont 55 autoportraits, faisant d'elle une icône de résilience et de créativité dans l'art mexicain et mondial. Elle a dit un jour : « 𝗝𝗲 𝗻’𝗮𝗶 𝗷𝗮𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗲𝗶𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗿𝗲̂𝘃𝗲𝘀, 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗺𝗮 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗿𝗲 𝗿𝗲́𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́. »

Il y a 60 ans, le 13 juillet 1965, une loi favorisait l'𝗲́𝗺𝗮𝗻𝗰𝗶𝗽𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗷𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗿𝗶𝗲́𝗲𝘀 en France ! ⬇️ Cette loi n° 65-570 du 13 juillet 1965 révolutionnait les régimes matrimoniaux en France, marquant une étape décisive dans l'𝗲́𝗺𝗮𝗻𝗰𝗶𝗽𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗷𝘂𝗿𝗶𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗿𝗶𝗲́𝗲𝘀. Avant cette réforme, les femmes étaient soumises à un régime de tutelle quasi-totale dès leur mariage, selon les dispositions du 𝗖𝗼𝗱𝗲 𝗰𝗶𝘃𝗶𝗹 𝗻𝗮𝗽𝗼𝗹𝗲́𝗼𝗻𝗶𝗲𝗻 𝗱𝗲 𝟭𝟴𝟬𝟰. Elles ne pouvaient : - Ni ouvrir un compte en banque - Ni travailler sans l'autorisation de leur mari - Et restaient sous la domination totale de ce dernier Cette loi, promulguée sous le 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗣𝗼𝗺𝗽𝗶𝗱𝗼𝘂, malgré sa composition exclusivement masculine, a transformé les droits des femmes dans le cadre du mariage. A compter de cette date, les femmes ont pu 𝗼𝘂𝘃𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲 𝗲𝗻 𝗯𝗮𝗻𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝗿 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗹'𝗮𝘂𝘁𝗼𝗿𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗺𝗮𝗿𝗶. Le régime légal du mariage est passé de la communauté de meubles et acquêts à la communauté réduite aux acquêts, supprimant le régime dotal qui accordait à l'époux l'administration et la jouissance d'une partie des biens apportés lors du mariage. Grâce à cette réforme, les femmes ont obtenu le droit de gérer elles-mêmes leurs biens propres et de passer seules les contrats courants. Pour les décisions importantes, telles que l'achat d'un bien immobilier, l'accord des 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗲́𝗽𝗼𝘂𝘅 𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲́𝘀𝗼𝗿𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗿𝗲𝗾𝘂𝗶𝘀, établissant un véritable partenariat dans la gestion du foyer. En matière de droit commercial, cette loi a également permis aux femmes d'exercer un commerce 𝘀𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗲́ 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝗹𝘂𝗶 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗰𝗼𝗻𝗷𝗼𝗶𝗻𝘁 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗻𝗲́𝗰𝗲𝘀𝘀𝗶𝘁𝗲𝗿 𝗹'𝗮𝘂𝘁𝗼𝗿𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝗱𝗲𝗿𝗻𝗶𝗲𝗿. Une avancée significative qui a ouvert de nouvelles perspectives pour l'entrepreneuriat féminin en France. 𝗣𝗲𝘁𝗶𝘁 𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝗿𝗲́𝗴𝗶𝗺𝗲 𝗺𝗮𝘁𝗿𝗶𝗺𝗼𝗻𝗶𝗮𝗹 : Le droit napoléonien de la famille avait entériné un régime d’incapacité juridique pour l’épouse. L’économie conjugale reposait alors sur l’article 213 du code civil affirmant que "𝗹𝗲 𝗺𝗮𝗿𝗶 𝗱𝗼𝗶𝘁 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮 𝘀𝗮 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲, 𝗹𝗮 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲 𝗼𝗯𝗲𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗮 𝘀𝗼𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗶". Cette incapacité juridique de la femme avait évolué au fil du temps. Elle était supprimée pour l’épouse séparée de corps en 1893, puis lorsque l’administration des biens provenait d’une profession séparée (1907). Cette incapacité avait théoriquement disparu en 1938, de même que l’autorité maritale. Mais le mari restait chef de famille et conservait un pouvoir quasi absolu tant sur les biens que sur la profession de son épouse. 📷 Credits : INA

Nathalie BRUNEL, membre du Women First Club et Senior Vice President Sales, Marketing & Communication chez Bureau Veritas, incarne un leadership féminin entre vision stratégique, action et engagement !⬇️ 𝐔𝐧𝐞 𝐜𝐚𝐫𝐫𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐞́𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐭𝐞𝐜𝐡, 𝐝𝐮 𝐝𝐢𝐠𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞𝐬 𝐁𝟐𝐁 Professionnelle reconnue, forte de 30 ans d’expérience, Nathalie a évolué avec agilité dans des environnements aussi variés que les start-ups, les ETI ou les grands groupes (Orange, Altran, Lectra, Okavango Energy). Son expertise ? Piloter des organisations complexes, accompagner le changement ou encore développer des stratégies commerciales durables et performantes. Ses 15 années dans le conseil et l’ingénierie lui ont également permis d’acquérir une connaissance approfondie de nombreux secteurs d’activité. 𝐔𝐧 𝐥𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫𝐬𝐡𝐢𝐩 𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐞́𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 Tout au long de sa carrière, elle a piloté des P&L allant de 3 à 800 M€, dans des environnements dynamiques et exigeants. Elle se distingue par sa capacité à : 🔹 Concevoir des stratégies commerciales efficaces 🔹 Optimiser les coûts tout en assurant une croissance durable 🔹 Manager des équipes pluridisciplinaires, multigénérationnelles et multiculturelles 🔹 Prendre des décisions avec agilité, même dans des contextes complexes 𝐒𝐨𝐧 𝐢𝐦𝐩𝐚𝐜𝐭 𝐜𝐡𝐞𝐳 𝐁𝐮𝐫𝐞𝐚𝐮 𝐕𝐞𝐫𝐢𝐭𝐚𝐬 Depuis son arrivée en 2021, Nathalie a impulsé une nouvelle dynamique au sein de Bureau Veritas France en menant plusieurs projets structurants : ✔️ Refonte du processus commercial ✔️ Optimisation de la stratégie marketing et communication ✔️ Lancement de nouvelles solutions de croissance, en cohérence avec l’activité cœur Elle agit avec rigueur stratégique, un fort esprit collectif et un sens prononcé de l’excellence opérationnelle. 𝐔𝐧𝐞 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞́𝐞 Nathalie s’investit activement en tant que: 🔹 Membre active du Women First Club pour la promotion des carrières féminines 🔹 Présidente de "Crée ton avenir" pour la transmission aux jeunes générations 🔹 Sponsor du programme Women@BV chez Bureau Veritas, où elle accompagne plusieurs femmes dans leur développement professionnel 𝐒𝐨𝐧 𝐦𝐚𝐧𝐭𝐫𝐚 ? « Ose, va chercher le non ». Un appel à dépasser l’auto-censure, à prendre des risques et à ne pas s’arrêter à la crainte du refus. A propos de Bureau Veritas France Fondé en 1828, Bureau Veritas est le leader mondial de l’inspection, de la certification et des essais en laboratoire. Sa mission : bâtir un monde de confiance, en assurant un progrès responsable. Avec plus de 84 000 collaborateurs dans 140 pays, le groupe accompagne ses clients sur leurs enjeux de qualité, sécurité, environnement et durabilité. Bureau Veritas Group est coté sur Euronext Paris et fait partie des indices CAC 40, CAC 40 ESG, SBF 120 et SBT 1.5.

Fany Péchiodat : elle a transformé un simple e-mail en un empire du lifestyle. ⬇️ 𝗗’𝘂𝗻𝗲 𝗻𝗲𝘄𝘀𝗹𝗲𝘁𝘁𝗲𝗿 𝗮̀ 𝘂𝗻𝗲 𝗺𝗮𝗿𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 🌍 En 2008, Fany Péchiodat envoie un e-mail à 50 copines pour partager ses bons plans parisiens. Un petit geste, anodin en apparence… qui deviendra le point de départ de 𝗠𝘆 𝗟𝗶𝘁𝘁𝗹𝗲 𝗣𝗮𝗿𝗶𝘀, un média unique mêlant lifestyle, beauté et inspiration. Sans pub, sans levée de fonds, portée uniquement par le bouche-à-oreille et un style "home made", la newsletter atteint 10.000 abonné·e·s en 6 mois. Derrière ce succès, une vision claire : proposer du contenu sincère, drôle, élégant — un antidote au marketing traditionnel. 𝗟’𝗮𝘂𝗱𝗮𝗰𝗲 𝗱’𝗲́𝗹𝗮𝗿𝗴𝗶𝗿 𝗹’𝘂𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗮 👒 Aux côtés de sa sœur Amandine, Fany décline My Little Paris en Merci Alfred (pour les hommes), My Little Kids, My Little Wedding, My Little App et surtout My Little Box, une box beauté et lifestyle lancée dès 2011 — bien avant la vague des box. Résultat : 🔹 Plus d’1 million d’abonné·e·s 🔹 Une équipe de 70 personnes 🔹 60% des parts rachetées par Aufeminin en 2013 pour près de 24M€ 🔹 Une implantation jusqu’au Japon 𝗥𝗲́𝗶𝗻𝘃𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿, 𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗲𝗿, 𝗶𝗻𝘀𝗽𝗶𝗿𝗲𝗿 💡 Fany ne s’arrête pas là. En 2016, elle crée Seasonly, marque de soins naturels et personnalisés. En 2023, elle lance Le Filtre et Belly, médias culturels et gastronomiques. Elle co-signe également Soul of Guides, une collection de city guides d’exception. Sa force ? 👉 Suivre ses intuitions 👉 Prendre ses rêves au sérieux, jamais ses peurs 👉 Rechercher l’émotion et l’expérience avant la performance 💡 Pourquoi Women First ? Pour transformer notre société par la place des femmes. 👥 Envie d'agir ? Cliquez sur "Suivre" et rejoignez notre communauté engagée 👈 🔔 Ne ratez rien ! Activez la cloche 🔔 pour recevoir toutes nos actualités. 💬 Vous pensez à quelqu'un ? Identifiez-la/le en commentaire pour partager l'inspiration ! 👉 #WomenFirstEducates — Parce que connaître, c’est reconnaître.

Ouarda Ech-Chykry, Directrice Générale de Kiabi France, est l'invitée du Women First Club ! ⬇️ 𝗢𝘂𝗮𝗿𝗱𝗮 𝗲𝗻 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗴𝗻𝗲𝘀 👉 Directrice Générale de Kiabi France 👉 Ex-Leader des ventes XCanal Est & Paris 👉 Ex-Directrice de Magasin & Leader Régional 👉 Diplômée de NEOMA Business School 𝗗’𝗮𝗹𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝘁𝗲 𝗮̀ 𝗗𝗚 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝗻 𝟭𝟯 𝗮𝗻𝘀 : 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝘀𝗰𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗲́𝘁𝗮𝗽𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗲́𝘁𝗮𝗽𝗲 À 20 ans, Ouarda rejoint Kiabi en alternance. Treize ans plus tard, à 34 ans, elle en devient Directrice Générale France. Une ascension faite d'évolutions fonctionnelles et de mobilités géographiques, nourrie d'engagement, d’exigence et d’une incroyable capacité à apprendre et progresser à chaque étape. Issue d'un milieu modeste, Ouarda incarne une trajectoire inspirante pour toutes et tous. Ouarda a su tracer son propre chemin, gravir un à un les échelons dans une grande entreprise du retail, en restant fidèle à ses valeurs et à son style. 𝗨𝗻 𝗹𝗲𝗮𝗱𝗲𝗿𝘀𝗵𝗶𝗽 𝗽𝗿𝗮𝗴𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲, 𝗲𝘅𝗶𝗴𝗲𝗮𝗻𝘁… 𝗲𝘁 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻 De Reims à l’Alsace, en passant par Paris, Ouarda a dirigé des équipes de toutes tailles, toujours avec un haut niveau d’exigence mais aussi une empathie assumée. Elle forge son style de leadership sur le terrain, au contact des équipes, avec humilité et passion. Chez Kiabi, elle incarne un modèle accessible et puissant, qui montre que le travail, la mobilité, l’audace et l’ancrage humain peuvent transformer une carrière… et inspirer des générations. 𝗢𝘂𝗮𝗿𝗱𝗮 𝗘𝗰𝗵-𝗖𝗵𝘆𝗸𝗿𝘆 « 𝑇𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑜𝑛 𝑐œ𝑢𝑟 𝑏𝑎𝑡 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑎𝑑𝑒 𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝐾𝑖𝑎𝑏𝑖, 𝑗𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒 ! » Photo © David Morganti 𝗤𝘂’𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲 𝗪𝗼𝗺𝗲𝗻 𝗙𝗶𝗿𝘀𝘁 𝗖𝗹𝘂𝗯 ? C’est un réseau de directrices et exécutives. Nos piliers : 🤝 Du réseau 🌐 Du contenu 📅 Des événements 💫 Du personal branding + d'infos en commentaire

Cécile Guillou sera la prochaine invitée du Women First Club ! ⬇️ 𝗖𝗲́𝗰𝗶𝗹𝗲 𝗲𝗻 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗴𝗻𝗲𝘀 👉 Présidente de Picard Surgelés 👉 Ex-Directrice Générale de Franprix 👉 Ex-Manager chez McKinsey 👉 Diplômée d’HEC Paris 𝗗𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗲𝗻 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗲́𝗴𝗶𝗲 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱’𝘂𝗻 𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲̀𝗺𝗲 𝗳𝗿𝗮𝗻𝗰̧𝗮𝗶𝘀 Après une première carrière chez McKinsey, Cécile Guillou rejoint le groupe Casino où elle enchaîne les responsabilités : gestion de projets, transformation des concepts d’hypermarchés, direction de magasin, puis marketing et communication chez Franprix. En 2013, elle devient Directrice Générale Adjointe de Franprix, puis Directrice Générale en 2018. Elle y porte une stratégie de transformation ambitieuse, axée sur la proximité, l’expérience client et l’innovation. Depuis 2021, Cécile Guillou est également Business Angel au sein de Leia Capital, un fonds 100% féminin qui soutient des projets en phase d’amorçage, fondés ou cofondés par des femmes dans des secteurs aussi variés que la tech, la data, l’économie circulaire, la santé ou encore la finance. Forte de son expérience de dirigeante dans le retail, elle met au service de ces jeunes entreprises son expertise pointue en stratégie digitale, développement durable, innovation business, management et croissance responsable. 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗣𝗶𝗰𝗮𝗿𝗱 𝗱𝗲𝗽𝘂𝗶𝘀 𝟮𝟬𝟮𝟯 Aujourd’hui à la tête de Picard Surgelés, elle impulse une nouvelle dynamique pour renforcer l’attachement des Français à cette marque patrimoniale, tout en accélérant les engagements RSE du groupe. Son parcours illustre une excellence opérationnelle au service du commerce de demain, et une capacité rare à conjuguer stratégie, exécution… et simplicité. 𝗨𝗻 𝗹𝗲𝗮𝗱𝗲𝗿𝘀𝗵𝗶𝗽 𝗱’𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗱’𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 Discrète, résolue et très respectée dans le secteur de la grande distribution, Cécile Guillou incarne une nouvelle génération de dirigeantes capables de transformer profondément des marques bien ancrées dans le quotidien des Français. Elle inspire toutes celles qui veulent évoluer dans des environnements complexes, conjuguer performance économique et impact, sans jamais perdre le sens du concret. Qu'est-ce que le Women First Club ? C'est un réseau de directrices et exécutives. Nos piliers : 🤝 Du réseau 🌐 Du contenu 📅 Des événements 💫 Du personal branding + d'informations en commentaire