Photo de couverture de CEA

À propos

Le CEA est un acteur majeur de la recherche, au service de l'État, de l'économie et des citoyens. Il apporte des solutions concrètes à leurs besoins dans quatre domaines principaux : transition énergétique, transition numérique, technologies pour la médecine du futur, défense et sécurité. Réunissant 20 000 collaborateurs et implanté au cœur des territoires, sur 9 centres équipés de très grandes infrastructures de recherche, le CEA bénéficie d'un large éventail de partenaires académiques et industriels en France, en Europe et à l'international. Il se classe au 1er rang des organismes de recherche français en matière de dépôts de brevets en France et en Europe, selon le classement Clarivate 2019.

Site web
http://www.cea.fr
Secteur
Services de recherche
Taille de l’entreprise
+ de 10 000 employés
Siège social
Paris, France
Type
Administration publique
Domaines
Carbon-low Energies, Information Technologies, Defense and Security et Health and Environment

Lieux

Employés chez CEA

Nouvelles

  • Voir la Page de l’organisation de CEA

    293 126  abonnés

    🃏 Il était une fois… la quête des particules invisibles ! 🛫 7e escale de notre voyage dans le temps à la découverte des grandes aventures scientifiques du CEA ! Pour voir au cœur de la matière, rien de mieux qu’un accélérateur de particules capable de la sonder ! Depuis les années 1950, plusieurs générations de machines se sont succédées pour chercher à percer les ultimes secrets de la matière. Mais leur principe est demeuré le même : un faisceau de particules est accéléré pour entrer en collision soit avec une cible fixe, soit avec un autre faisceau arrivant en sens inverse. Les faisceaux peuvent circuler en ligne droite (collisionneur linéaire), ou en cercle (collisionneur circulaire). L’énergie combinée des particules qui entrent en collision est telle que de nouvelles particules sont créées. Des détecteurs, placés au plus près de la collision, permettent d’enregistrer leurs caractéristiques et d’analyser ce qui s’est passé. ✨ C’est, au départ, pour explorer les propriétés du noyau atomique que le CEA construit en 1952 un 1er accélérateur linéaire, dont il perfectionne plus tard le principe pour atteindre des énergies plus élevées. Puis vient le tour des synchrotrons, bien plus puissants, avant le triomphe des collisionneurs qui, en atteignant de très hautes énergies, rendent possible la quête des constituants ultimes de la matière. C’est ainsi que le fameux boson de Higgs, après avoir longtemps échappé à la détection, est enfin observé en 2012 au CERN grâce au LHC. L’expertise que le CEA a développée depuis plus de 50 ans dans les domaines des accélérateurs de particules, de l’instrumentation et de l’analyse de données lui permet d’être aujourd’hui un acteur clé de nombreuses collaborations internationales, notamment au Cern. Le CEA a conçu les aimants supraconducteurs des expériences Atlas et CMS, en a supervisé la fabrication et les tests, et continue à y livrer de nouveaux composants. Il contribue également aux expériences Alice et LHCb, sur d’autres volets instrumentaux et scientifiques. 👋 Anne-Isabelle Etienvre Franck Sabatié Renaud Blaise Estelle Lemaitre Sophie Kerhoas-Cavata Marie-Ange Folacci CEDRIC GARNIER Jeanne Marcucci de La Brélie Laetitia Baudin Hélène PERRIN Barbara Minot #CEA80ans

  • Voir la Page de l’organisation de CEA

    293 126  abonnés

    🩲 Non, ce ne sont ni les slips de Superman, ni ceux de Walter White dans Breaking Bad… C’est bien plus coton à trouver ! 😅   Ce que vous voyez ici, ce sont les « muscles » d’une cellule : les filaments d’actine qui en constituent son architecture. Il s’agit d’une même cellule photographiée à différents moments. Ces images ont été prises à l’aide d’un microscope et montrent comment l’architecture de la cellule évolue au fil du temps et en fonction de son environnement. Des micro-usines vivantes, plus petites qu’un grain de poussière… mais capables de prouesses que la technologie peine encore à égaler. 🧬 Chaque cellule détecte & s’adapte à son environnement, communique… et apprend. C’est ça, la biologie cellulaire : découvrir et comprendre comment les cellules vivantes fonctionnent.   🧪 Dans les laboratoires du CEA, les chercheurs, un peu comme des architectes du vivant, décryptent ces mécanismes cellulaires complexes. Leur mission : mieux comprendre ce qui fait qu’un système devient… vivant. Comment cette matière vivante s’organise-t-elle spontanément pour survivre, évoluer, coopérer ? ⚙️ Sensation, adaptation, mémoire, communication… ces fonctions que l’on croyait réservées aux cerveaux complexes, existent déjà à l’échelle cellulaire. ✨ Derrière chaque battement de cœur, chaque cicatrisation, chaque sensation… il y a une cellule à l’œuvre. Découvrez les dessous… de nos cellules, dans le premier épisode de notre série “Science & Mystère : Décode l’image”, en ligne sur notre chaîne YouTube !  Un échange scientifique aussi captivant qu’accessible avec Manuel Théry, chercheur au CEA, pour décrypter cette image fascinante. 📸 ©Timothée Vignaud au cours de sa thèse au CytoMorphoLab (CEA-Irig/LPCV) 👋 Manuel Théry CEA-Irig Odile C. Odile Rossignol Alain FARCHI Anthony Lemarié Nathalie Sciardis CENTQUATRE-PARIS Karine YRIS Victor Dekyvère

    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la Page de l’organisation de CEA

    293 126  abonnés

    📢 Nomination d’Anne-Isabelle Etienvre au poste d’Administrateur Général du CEA Le Conseil des ministres a nommé, le vendredi 11 juillet 2025, Anne-Isabelle Etienvre administratrice générale du CEA. Diplômée de l’École normale supérieure de Paris-Saclay, agrégée de sciences physiques et titulaire d’un doctorat en physique des particules, Anne-Isabelle Etienvre bénéficie d’une solide expérience scientifique et managériale au sein du CEA. Elle a dirigé le Service de physique des particules à partir de 2014, puis l’Institut de recherche sur les lois fondamentales de l’Univers (IrfU) de 2016 à 2022. Elle a également été conseillère recherche auprès de la Ministre chargée de la recherche, avant de devenir directrice de la recherche fondamentale du CEA en 2023. 📍 Elle entend renforcer l’ancrage du CEA dans le monde académique tout en favorisant son ouverture à la société et à l’industrie, tout en confortant le positionnement européen de l’organisme. Ses priorités programmatiques incluent : 🛡️ la défense, en poursuivant le rôle clé du CEA pour la dissuasion nucléaire et la recherche duale ; ⚛️ le renforcement du rôle du CEA dans la relance du nucléaire et la poursuite de la R&D pour les autres formes d’énergie décarbonée ; 💻 la maitrise des technologies numériques ; ⚕️ le développement de technologies pour la médecine du futur 🔬 le maintien d’une recherche fondamentale d’excellence, irriguant l’ensemble de l’organisme. Très attachée au dialogue social et à un management serein, elle met l’accent sur un pilotage rigoureux dans un contexte budgétaire contraint, tout en cultivant un esprit collectif fort et une communication interne renforcée. La promotion des femmes dans les carrières scientifiques, dès le plus jeune âge, figure également parmi ses engagements. Anne-Isabelle Etienvre succède à François Jacq, nommé président du CNES en mai 2025. Sa nomination marque une étape importante pour le CEA, qui s’engage ainsi à poursuivre ses missions d’excellence scientifique, d’innovation technologique et de service à la société, dans un contexte de compétition internationale et d’enjeux sociétaux majeurs. 👋 Emmanuel Macron PHILIPPE BAPTISTE Sébastien Lecornu Marc Ferracci Élisabeth Borne Eric Lombard François Bayrou Philippe Stohr Julie Galland Jérôme DEMOMENT Marie-Ange Folacci Gouvernement Ministère des Armées Ministère chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Assemblée nationale Sénat

    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la Page de l’organisation de CEA

    293 126  abonnés

    🚨 La dixième newsletter du CEA est en ligne !   Tous les deux mois, la newsletter du CEA c’est un dossier d’actualité au cœur de nos métiers. Décryptage, vidéos, publications…   👀 Aujourd’hui, zoom sur la propulsion nucléaire, cet atout pour la France.  ✉ Pour suivre toute l’actualité scientifique, un seul abonnement : la Newsletter du CEA. 👋 virginie silvert, Marine CORREIA, Alexis Casner, Benoit-Joseph Gréa, Laurence Bonnet, Mathieu Quiclet, Maëlle LE PENNEC, Thomas Plisson, Jean-Philippe VERGER, Jacques-Charles Lafoucriere, Olivier Musseau, Denis Vacek, Daniel Bouche, Denis Penninckx, Erik Lefebvre, François GAULT, Frédéric SULPICE, Geneviève Merceur, Michel Mandallena, Jean-Luc Miquel, Pierre-Henri Maire

  • Voir la Page de l’organisation de CEA

    293 126  abonnés

    🩺Transformer un poumon fragile en greffon invincible : mission (im)possible ? Aujourd’hui, seuls 15 % des poumons prélevés sont effectivement transplantés. Les autres sont jugés trop fragiles ou se dégradent trop vite avant la greffe. Le projet « Greffons augmentés » soutenu par le programme « Audace ! », a une idée audacieuse : renforcer ces greffons en leur transférant ex vivo des gènes protecteurs, avant même qu’ils ne soient implantés. 💡 Le défi ? Maintenir le poumon en vie hors du corps assez longtemps — jusqu’à 24 heures, contre 4 heures habituellement — grâce à une plateforme de perfusion de haute technologie. Cette plateforme nourrit le poumon en oxygène et nutriments tout en surveillant son état via des capteurs intelligents. 🎯 L’objectif : donner aux greffons le temps de recevoir des gènes de défense, pour les rendre plus résistants aux infections et diminuer ainsi les risques d’échecs de transplantation à court et long terme. 💬 « La survie des patients greffés pulmonaires ne s’améliorait plus, il fallait des innovations technologiques et thérapeutiques de rupture donc faire travailler ensemble des métiers qui ne se connaissent pas bien : médecins, chercheurs de différents domaines. La thérapie génique pour protéger des poumons maintenus en vie plus longtemps est la conclusion de nos réflexions » explique Olivier LAMBOTTE, co-porteur du projet. Réussir à doter les poumons de meilleurs mécanismes de défense avant la transplantation permettrait de réduire les complications infectieuses qui touchent jusqu’à 60 % des patients et limiter les rejets chroniques, qui concernent encore 30 à 50 % des greffés dans les cinq ans. 🔬 Cette approche novatrice, mêlant thérapie génique, ingénierie biomédicale et transplantation, pourrait révolutionner la greffe pulmonaire, en ouvrant la voie à une médecine plus durable, moins lourde en traitements et plus efficace. ✨ C’est ça, l’audace du programme « Audace ! » : soutenir des projets risqués, hors des sentiers battus, portés par la conviction qu’on peut transformer la vie des patients. Et si on armait nos poumons pour sauver plus de vies demain ? #audace #CEA 👋 Roger Le Grand Olivier LAMBOTTE Olaf Mercier Reiner Albert VEITIA Université Paris-Saclay Hôpitaux Saint-Joseph & Marie-Lannelongue Anne-Isabelle Etienvre Vincent LEBON Laetitia Baudin Renaud Blaise philippe Chomaz Sonia Colette-Maatouk Inserm ANR (Agence nationale de la recherche) Claire Giry Isabelle Mangeot Claire Abou

  • Voir la Page de l’organisation de CEA

    293 126  abonnés

    🧬 Lancement du PEPR MED-OOC : la bio-ingénierie au service d’une médecine plus personnalisée Ce 4 juillet, le CEA, le CNRS et l’Inserm lancent à Grenoble le programme de recherche MED-OOC, dédié aux organes et organoïdes sur puces. Financé à hauteur de 48,4 M€ par #France2030, ce programme ambitieux vise à révolutionner la modélisation du vivant et à accélérer le développement de nouvelles thérapies. 👉 Pourquoi c’est stratégique ? MED-OOC permet de concevoir des modèles biologiques miniaturisés, capables de reproduire le fonctionnement d’un organe humain (pancréas, foie, intestin, tumeur…). Ces modèles pourront être utilisés pour : - tester plus rapidement l’efficacité de traitements, - adapter les soins à chaque patient, - réduire à terme le recours à l’expérimentation animale. Un levier puissant pour la recherche, l’industrie pharmaceutique et la médecine de demain. 💡 Une technologie de rupture pour la santé En utilisant les cellules d’un patient pour créer son « jumeau clinique » sur puce, MED-OOC ouvre la voie à une médecine plus prédictive, personnalisée et efficace. Grâce à des capteurs intégrés, ces systèmes offriront un suivi en temps réel de l’activité des tissus, pour mieux comprendre les maladies et anticiper les réponses thérapeutiques. 📍 Un programme structurant pour l’écosystème français Piloté par le CEA, le CNRS et l’Inserm, MED-OOC s’appuie sur un réseau d’équipes scientifiques d’excellence et finance déjà 4 projets phares, sur des thématiques allant du cancer au diabète, en passant par le syndrome métabolique. ➡️ Objectif : faire de la France un leader mondial de la bio-ingénierie sur puce. Un programme qui illustre pleinement les ambitions de France 2030 : soutenir l’innovation de rupture, renforcer notre autonomie sanitaire, et faire émerger les filières d’avenir. 👋 CEA-Irig CEA-Leti Anne-Isabelle Etienvre Vincent LEBON Julie Galland Sébastien Dauvé Xavier Gidrol Fabrice Navarro Yann de Boysson Nadège Nief Pascale Bayle Guillemaud PEPR MED-OOC Bruno Bonnell PHILIPPE BAPTISTE Yannick NEUDER Secrétariat général pour l'investissement Antoine Petit Agence de l'innovation en santé Anne Jouvenceau-Bester 📸 CEA/Pierre Jayet

    • Aucune description alternative pour cette image
    • Aucune description alternative pour cette image
    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la Page de l’organisation de CEA

    293 126  abonnés

    🧠 Et si l’on pouvait explorer le cerveau d’un enfant avec une précision jamais atteinte ? Jusqu’ici, l’IRM à ultra-haut champ 7 teslas, outil d’imagerie de pointe parmi les plus avancés au monde, était réservé aux adultes. Mais au CEA Joliot, à NeuroSpin, les équipes ont relevé le défi : adapter cette technologie pour observer le cerveau en plein développement chez l’enfant, dès l’âge de 6 ans. 🔍 Le résultat ? Des images d’une précision exceptionnelle chez des enfants de 6 ans, révélant des détails invisibles jusqu’ici : la fine architecture ramifiée du cervelet ou l’activité localisée du cortex cérébral d’un individu. Demain, l’accès à la microvascularisation ou au métabolisme cérébral. Pourquoi c’est un tournant ? Parce que cette précision ouvre une nouvelle fenêtre sur les maladies du développement cérébral - de l’alcoolisation fœtale aux épilepsies infantiles -, qu’on peinait à comprendre avec les seules IRM classiques (1,5 ou 3T). 🎯 Et pour arriver là, il a fallu repenser l’IRM : développer une antenne spécifique, garantir le respect des recommandations de sécurité grâce à une modélisation précise de l’absorption des ondes radiofréquences utilisées, et réduire la durée des examens pour les enfants. 💬  « C’est une première mondiale à ce niveau de technicité des images et de garantie de sécurité. L’IRM 7T nous permet de voir ce que le 3T ne montre pas. C’est un apport majeur pour l’étude et la compréhension des troubles du neurodéveloppement et des maladies du cerveau de l’enfant. Par exemple chez les enfants porteurs de troubles causés par l’alcoolisation fœtale, très affectés dans leur fonctionnement cognitif et dont le cervelet est trop petit, nous avons montré que les régions du cervelet les plus atteintes étaient des régions plutôt impliquées dans le fonctionnement moteur… Aujourd’hui, l’IRM à 3T ne nous permet pas d’explorer efficacement ce paradoxe neurodéveloppemental, alors nous nous tournons vers le 7T pour avancer », explique le Dr David Germanaud, neuropédiatre à l’Institut Robert-Debré du Cerveau de l’Enfant et chercheur au CEA Joliot à NeuroSpin. Une avancée inédite qui ouvre la voie à une imagerie cérébrale individualisée, plus fine, pour mieux diagnostiquer, comprendre, et un jour mieux traiter les troubles du neurodéveloppement et maladies du cerveau de l’enfant. 👋 Ghislaine Dehaene Marianne Perreau-Saussine Vincent Gras Jessica Dubois Florence Mousson Christine Doublé Christophe Junot Vincent LEBON Anne-Isabelle Etienvre Aurélia Garaud Albert Moukheiber Crédit 📸 : CEA

    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la Page de l’organisation de CEA

    293 126  abonnés

    🧠 Et si notre cerveau cachait un langage encore inconnu ? À première vue, les plis de notre cortex ressemblent à un chaos organisé. Mais s’ils formaient en réalité un langage, codé dans la géographie intime de notre cerveau, et unique à chacun de nous ? Un langage porteur d’indices sur notre santé cérébrale future. C’est l’intuition du projet Champollion, soutenu par le CEA dans le cadre du programme de recherche à risque "Audace !". 🧩 Comme l'égyptologue qui déchiffra les hiéroglyphes grâce à la pierre de Rosette, les chercheur·ses veulent concevoir une IA capable de décoder ce langage cortical. Leur Rosette ? Un trésor scientifique : 100 000 IRM multimodales du cerveau humain, à tous les âges de la vie, associées à des données génétiques, comportementales et cliniques désormais accessibles à grande échelle. 🎯 L’objectif : établir un dictionnaire des motifs du plissement cortical – ces sortes d’idéogrammes cérébraux – pour mieux comprendre leur rôle, et surtout détecter d’éventuelles anomalies architecturales locales, bien plus fréquentes chez les personnes atteintes de troubles neurodéveloppementaux. 🔬 Car ces variations, souvent invisibles à l’œil nu, pourraient être les marqueurs précoces de certaines pathologies. En les identifiant suffisamment tôt, on pourrait anticiper les risques pour chaque individu, affiner les diagnostics, et envisager des prises en charge préventives personnalisées. L’Audace de ce projet ? 💬 « La plupart des neuroscientifiques considèrent que les plis du cortex sont une astuce de la nature pour augmenter nos capacités cognitives sans changer la taille de notre boîte crânienne. Pour eux, les sillons corticaux constituent une carte routière pour se repérer dans le cortex, mais leurs variations ont peu de chance d’avoir un sens, elles résultent juste du côté chaotique de la dynamique du plissement. L’histoire de la phrénologie, la pseudoscience des bosses du crâne, les conduit à considérer notre projet comme une autre pseudoscience similaire à la chiromancie. Notre conviction que des anomalies du plissement cortical pourraient éclairer l’origine développementale d’un grand nombre de pathologies, bien au-delà de l’épilepsie, est tout sauf consensuelle. » précise jean-francois mangin co-porteur du projet. ✨ C’est ça, l’ambition d’Audace ! : soutenir les intuitions qui semblent trop risquées pour les circuits de recherche classiques, mais qui pourraient transformer notre compréhension du vivant. Et si les plis de notre cerveau cachaient un code à décrypter pour mieux nous soigner demain ? Pour en savoir plus sur ce projet 👇 #Audace #CEA 👋 jean-francois mangin Guillaume Auzias Pietro Gori CEA Joliot Florence Mousson Christophe Junot Anne-Isabelle Etienvre Vincent LEBON Laetitia Baudin Renaud Blaise philippe Chomaz Sonia Colette-Maatouk Institut de Neurosciences de la Timone Aix-Marseille Université Institut Polytechnique de Paris Institut Mines-Télécom (IMT) Télécom Paris Bruno Bonnell Claire Giry

  • Voir la Page de l’organisation de CEA

    293 126  abonnés

    🕶 La classe en toute circonstance au CEA… 🖐🦶 Nous sommes en 1958 et sur cette image, ces salariés du site CEA de Saclay, se soumettent à un test de détection de la contamination des mains, des pieds et des vêtements. Sûreté avant tout ! Dès les années 50, le CEA plaçait la sûreté au centre de ses priorités. Lorsque les salariés sortaient d’une zone nucléaire, ils devaient enlever leurs vêtements de protection puis les soumettre à un contrôle ainsi que celui des mains et des pieds. Objectif : traquer toute trace de contamination possible. 🧐 Pourquoi c’est important ? Lorsqu’on touche ou reçoit sur ses vêtements une substance radioactive, à la suite d’une manipulation sans précaution, on dit qu’il y a contamination externe. Cette contamination, que l’on peut transporter et disséminer, peut finalement entraîner une irradiation externe du fait du rayonnement émis, voire une contamination interne par inhalation, ingestion ou transfert transcutané. 👀 Pour éviter de sortir de la matière radioactive à l’extérieur d’une zone dite « contrôlée », les travailleurs de cette zone doivent systématiquement réaliser des contrôles en sortie. La contamination externe est détectée à l’aide de différents appareils qui mesurent les rayonnements bêta-gamma et les alpha. Même si la photo a 67 ans, les appareils d’aujourd’hui fonctionnent quasiment de la même façon. Evidemment, la règlementation en matière de radioprotection a grandement évolué depuis. Main gauche, main droite, pied gauche, pied droit, et tout ça en simultané. Et ensuite les vêtements. 🚨🚧 Analyse en cours… Et surtout restez connecté.e.s pour continuer à découvrir d’autres pépites du fonds Paris Match #CEA80ans #jeudiphoto ©Jack GAROFALO/PARISMATCH/SCOOP 👋 Marie-Ange Folacci Jeanne Marcucci de La Brélie CEDRIC GARNIER Cyril Rizk Laetitia Baudin Stephane Sarrade Audrey De Santis Séverine P. Michaël Mangeon Maxence Cordiez Valérie L'Hostis Kako Linda NAIT ALI CEA ISAS CEA IRESNE CEA ISEC Christophe Kassiotis Camille Hazard Valerie Faudon Hélène PERRIN Barbara Minot Clément Moulet Tuline Laeser Romain Clergeat Flore Olive

    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la Page de l’organisation de CEA

    293 126  abonnés

    Lancement de SPINfab : une ligne pilote clé pour la souveraineté industrielle 🇫🇷 et 🇪🇺 Ce 25 juin, le CEA, le CNRS et l’Université Grenoble Alpes lancent SPINfab, une ligne pilote académique unique dédiée à la spintronique — une technologie révolutionnaire au cœur de l’électronique verte de demain. 👉 Pourquoi c’est stratégique ? SPINfab fait le pont entre la recherche académique et la montée en maturité technologique. Elle permet d’accompagner la filière industrielle en proposant des infrastructures de pointe pour le prototypage et la fabrication de matériaux spintroniques avancés. Cette plateforme nationale vise à renforcer la compétitivité des industriels français et européens sur des secteurs stratégiques comme l’IA, l’Internet des objets, le calcul très basse consommation ou encore la santé. 🌍 Un enjeu de souveraineté technologique Face à des investissements massifs à l’international, SPINfab répond à un besoin urgent : assurer l’autonomie et la maîtrise technologique de la France et de l’Europe dans une filière émergente, où l’innovation est un facteur clé de différenciation. 📍 Installée au cœur de la Plateforme Technologique Amont sur le centre CEA de Grenoble, SPINfab pourra compter sur un écosystème exceptionnel de laboratoires, industriels et start-up, pour faire émerger la prochaine génération de technologies électroniques. SPINfab bénéficie de 11,5 M€ de financements issus de CPER et FEDER Auvergne-Rhône-Alpes, mais aussi de l’EQUIPEX Nanofutur ainsi que des programmes de recherche Électronique et SPIN, témoignant du fort soutien du monde de la recherche et des collectivités – Europe, État, Région Auvergne-Rhône-Alpes, Grenoble-Alpes Métropole – à ce projet. 👋CEA-Irig, CEA-Leti, Anne-Isabelle Etienvre, Bruno Feignier, Yassine Lakhnech, Thierry Dauxois, Catherine Staron, Lucian Prejbeanu Pascale Bayle Guillemaud, Pierre Labriet, PEPR Électronique Crédit photos : P. Jayet/CEA

    • Aucune description alternative pour cette image
    • Aucune description alternative pour cette image
    • Aucune description alternative pour cette image

Pages affiliées

Pages similaires

Parcourir les offres d’emploi