📣 Retour sur la journée transnationale Support. Don’t Punish : une campagne contre les politiques répressives autour des usages et usagers de drogues. Chez Aurore, une partie de nos structures travaillent auprès d’un public consommateur de produits psychoactifs afin de les accompagner dans une démarche de réduction des risques et parfois vers l’abstinence. Plusieurs d'entre elles se sont mobilisées : 🔸 A l’espace de repos de la Porte de la Chapelle : ateliers de sensibilisation, atelier photo/collage, projection de film, réalisation de photos et de masques. 🔸 Au CAARUD Doudeauville : journée portes ouvertes avec une présentation des activités du service par les usagers et exposition photos. 🔸 Au dispositif CARE : réunions communautaires autour de la campagne, préparation de messages et création supports visuels avec les usagers. 🔸 A STEP : journée portes ouvertes, présentation de la réduction des risques par les usagers et diffusion de vidéos de sensibilisation. 🔸 Au CAARUD 93 : projection débat autour du film « Histoire de la Réduction Des Risques - partie 1 » d'ASUD. 🔸 Au Centre International de Culture Populaire : diffusion du film « Stalingrad Lovers » en présence de l'équipe du film. 🔸 A l'occasion de la Fête de la Goutte d’Or : stand informatif et de sensibilisation. 🔸 Au SOLIDAYS FESTIVAL : stand dédié à la campagne et tenu par les dispositifs ASSORE et CARE. Pour en savoir plus, c'est ici 👉 https://lnkd.in/ey4VyFE4 #Supportdontpunish #RDR #Addictologie #Solidarité
C’est génial
Cette publication atteste du caractère foisonnant des actions des établissements RDRD de l'Association Aurore à l'occasion de cette campagne "Support don't punish". Bien sûr, c'est avant tout l'esprit d'engagement des équipes d'Aurore qui permet de rendre concret ces initiatives, mais ce sur quoi j'aimerais insister c'est la finesse des actions de sensibilisation lancées par nos collègues. Ce n'est pas simplement l'expression d'un slogan scandé à tue-tête, ce sont des campagnes subtiles mêlant les émotions indispensables quand on parle d'humains (déshumanisés par des représentations épouvantables) à la grande rationalité du raisonnement scientifique. Bien sûr, la prise en charge des personnes souffrants d'addictions est une affaire de santé publique. C'est le message que nous soutenons chaque jour et expliciterons chaque 26 juin.