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À propos

Association à but non lucratif, l’Institut Veblen promeut les idées économiques et les politiques publiques qui font avancer la transition écologique. A travers nos publications et nos actions nous œuvrons pour une économie plus juste et respectueuse des limites physiques de la planète.

Site web
https://www.veblen-institute.org/
Secteur
Think tanks
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Paris, Îledefrance
Type
Non lucratif

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Nouvelles

  • 📢 Avec 600 ONGs et syndicats, l’Institut Veblen appelle la Commission européenne à mettre fin au commerce toxique de pesticides interdits en UE ❌ Alors que plusieurs pesticides sont interdits en UE car jugés trop dangereux pour notre santé et notre environnement, leur production et leur exportation vers des pays extra-européens restent autorisées. La Commission européenne s’était pourtant engagée en 2020 à légiférer pour mettre fin à ce deux poids - deux mesures. 🛢Plus de 122 000 tonnes de pesticides interdits exportés en 2022 ☢️ Plus de 50 substances exportées depuis l’UE en 2022 comme le 1,3-Dichloropropène, le cyanamide, le chlorpyrifos, le Mancozeb, et plusieurs néonicotinoïdes. 🌍 L’écrasante majorité de ces exportations de pesticides interdits concerne des pays à revenu faible et intermédiaire.  Ce commerce toxique expose la population de ces pays à des risques sanitaires et environnementaux dévastateurs et viole les droits humains. ❌ Ces pesticides reviennent par “effet boomerang” sur le marché européen sous forme de résidus toxiques, via les importations de denrées agricoles. ☣️ En 2022, 53 pesticides interdits en UE ont été détectés dans des importations de denrées alimentaires en provenance de pays tiers. 🏥 Une menace pour la santé des consommateurs européens. 🌾 Une situation de concurrence déloyale pour les agriculteurs européens. C’est pourquoi les 600 organisations signataires demandent à la Commission européenne  :  ➡️ d’interdire la fabrication et l’exportation des pesticides interdits dans l’UE pour protéger  la santé et l'environnement ➡️ d’interdire les importations de denrées contenant des résidus de ces pesticides toxiques. Retrouvez notre déclaration ici : https://lnkd.in/e9dBTHvD The statement in english : https://lnkd.in/ef2t8qwk European Commission, Ursula von der Leyen, Christophe Hansen, Jessika Roswall, Majdouline Sbaï, Marie Toussaint, Chloé Ridel, Pascal Canfin, Eric Sargiacomo, Valérie Hayer, David Cormand, Claire Fita, Agnès Pannier-Runacher, ActionAid France, Broederlijk Delen vzw, Corporate Europe Observatory (CEO), Child Rights International Network - CRIN, Dreikönig- saktion der Katholischen Jungschar (DKA Austria), Ekō , European Environmental Bureau (EEB), Fondation pour la Nature et l'Homme (FNH), foodwatch, Friends of the Earth, Greenpeace, Humundi (ex SOS Faim Belgique), CCFD-Terre Solidaire, Pesticide Action Network (PAN) Europe, Pestizid Aktions-Netzwerk E.V., Public Eye, Slow Food.

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  • Veblen Institute for Economic Reforms a republié ceci

    🔴 Ces traités d'investissement français qui menacent la transition écologique Deux holdings russes détenues par un oligarque sous sanctions attaquent l'État français devant un tribunal arbitral international, réclamant plus de 4,5 milliards de dollars de compensations suite à l'abandon du projet minier "Montagne d'Or" en Guyane. Le paradoxe est saisissant : l'État français avait renoncé à ce projet en 2019 pour des raisons environnementales légitimes mais pourrait aujourd'hui être contraint de verser aux investisseurs des indemnités équivalentes aux profits espérés tout au long du cycle de vie du projet. Comment est-ce possible ? La France - est certes sortie du Traité sur la Charte de l'Énergie en 2022 - mais elle dispose encore de 90 accords de protection des investissements avec un mécanisme de règlement des différends entre investisseurs et États, dont 84 en vigueur. Quand ces accords sont dénoncés, ils restent actifs car ils comportent des clauses de survie qui font perdurer la protection des investissements pendant 10, 15, 20 ans, voire pour une durée illimitée (pour 5 d’entre eux). Les traités auxquels la France est partie protègent actuellement 188 Mt CO2 d'émissions fossiles (en cours et potentielles), soit 9.4% des émissions totales protégées par les traités d'investissement. Il est temps de mettre fin à ces accords archaïques. Bonne nouvelle : Pour 76 de ces accords, la durée initialement prévue est arrivée à échéance donc il est possible de les dénoncer sans attendre, à commencer par celui entre la France et la Russie. Le Gouvernement devrait aussi prévoir de dénoncer les autres accords restants au fur et à mesure de l’atteinte des échéances en cours. Retrouvez l’étude en cliquant ici : https://lnkd.in/eXvAxxtE Pascal Canfin Marie-Pierre Vedrenne Aurore Lalucq Raphaël Glucksmann Valérie Hayer François-Xavier Bellamy Marie Toussaint Majdouline Sbaï Aurélie Trouvé Laurent Saint-Martin Agnès Pannier-Runacher Eric Lombard Jean-Noël Barrot Manuel Valls Emmanuel Macron Francois Bayrou Sandrine Le Feur Delphine Batho François Ruffin Antoine Vermorel-Marques

  • 🔴 Ces traités d'investissement français qui menacent la transition écologique Deux holdings russes détenues par un oligarque sous sanctions attaquent l'État français devant un tribunal arbitral international, réclamant plus de 4,5 milliards de dollars de compensations suite à l'abandon du projet minier "Montagne d'Or" en Guyane. Le paradoxe est saisissant : l'État français avait renoncé à ce projet en 2019 pour des raisons environnementales légitimes mais pourrait aujourd'hui être contraint de verser aux investisseurs des indemnités équivalentes aux profits espérés tout au long du cycle de vie du projet. Comment est-ce possible ? La France - est certes sortie du Traité sur la Charte de l'Énergie en 2022 - mais elle dispose encore de 90 accords de protection des investissements avec un mécanisme de règlement des différends entre investisseurs et États, dont 84 en vigueur. Quand ces accords sont dénoncés, ils restent actifs car ils comportent des clauses de survie qui font perdurer la protection des investissements pendant 10, 15, 20 ans, voire pour une durée illimitée (pour 5 d’entre eux). Les traités auxquels la France est partie protègent actuellement 188 Mt CO2 d'émissions fossiles (en cours et potentielles), soit 9.4% des émissions totales protégées par les traités d'investissement. Il est temps de mettre fin à ces accords archaïques. Bonne nouvelle : Pour 76 de ces accords, la durée initialement prévue est arrivée à échéance donc il est possible de les dénoncer sans attendre, à commencer par celui entre la France et la Russie. Le Gouvernement devrait aussi prévoir de dénoncer les autres accords restants au fur et à mesure de l’atteinte des échéances en cours. Retrouvez l’étude en cliquant ici : https://lnkd.in/eXvAxxtE Pascal Canfin Marie-Pierre Vedrenne Aurore Lalucq Raphaël Glucksmann Valérie Hayer François-Xavier Bellamy Marie Toussaint Majdouline Sbaï Aurélie Trouvé Laurent Saint-Martin Agnès Pannier-Runacher Eric Lombard Jean-Noël Barrot Manuel Valls Emmanuel Macron Francois Bayrou Sandrine Le Feur Delphine Batho François Ruffin Antoine Vermorel-Marques

  • Sur le plateau de FRANCE 24, Mathilde Dupré a répondu aux questions de Laïdi Ali sur la politique des droits de douane du président américain Donald Trump : « Le problème c'est qu'on est sur des mesures très déstabilisatrices [...] on n'est pas sur un travail plus fin pour réduire la partie des activités les plus destructrices pour l'environnement » Selon vous, les droits de douane peuvent-ils servir la transition écologique ? Retrouvez l’émission complète ici : https://lnkd.in/eRP47R66

  • Veblen Institute for Economic Reforms a republié ceci

    🚨 4,5 milliards de dollars réclamés à la France via un tribunal d’arbitrage international ! L'affaire "Montagne d'Or" constitue le premier cas majeur d'arbitrage d'investissement contre la France, illustrant les tensions entre protection des investissements étrangers et impératifs environnementaux. ⚖ Rappel des faits :  Deux holdings russes (Severgroup LLC et KN Holding LLC) poursuivent la France devant un tribunal ad hoc d’arbitrage international pour 4,5 milliards de dollars, invoquant le traité bilatéral d'investissement franco-russe de 1989. La procédure, initiée en 2021, fait suite au retrait du soutien gouvernemental, en 2019, au méga projet de mine d’or à ciel ouvert en Guyane. 🌎 Les considérations environnementales :  Le Conseil de défense écologique avait jugé ce projet incompatible avec les exigences environnementales après avoir identifié de nombreux risques comme les impacts massifs sur la biodiversité guyanaise (50% du patrimoine français), l'usage de substances dangereuses (cyanure, explosifs), les impacts sur les populations locales et la forte opposition de la société civile. Après des décisions rendues par les plus hautes juridictions françaises, la Cour administrative d'appel de Bordeaux a confirmé en novembre 2024 la légalité du refus administratif. Cette procédure questionne la capacité des États à redéfinir leurs priorités écologiques face aux engagements contractés dans les traités d'investissement. Trois organisations de la société civile (le Collectif des Premières Nations, l’Organisation des Nations Autochtones de Guyane et Guyane Nature Environnement ) ont déposé des observations en qualité d'amicus curiae le 4 juillet 2025. Découvrez notre communiqué de presse sur cette affaire hors normes en cliquant ici : https://lnkd.in/d4a8kcQc N'hésitez pas à télécharger l'étude de cas pour la consulter plus tard

  • 🚨 4,5 milliards de dollars réclamés à la France via un tribunal d’arbitrage international ! L'affaire "Montagne d'Or" constitue le premier cas majeur d'arbitrage d'investissement contre la France, illustrant les tensions entre protection des investissements étrangers et impératifs environnementaux. ⚖ Rappel des faits :  Deux holdings russes (Severgroup LLC et KN Holding LLC) poursuivent la France devant un tribunal ad hoc d’arbitrage international pour 4,5 milliards de dollars, invoquant le traité bilatéral d'investissement franco-russe de 1989. La procédure, initiée en 2021, fait suite au retrait du soutien gouvernemental, en 2019, au méga projet de mine d’or à ciel ouvert en Guyane. 🌎 Les considérations environnementales :  Le Conseil de défense écologique avait jugé ce projet incompatible avec les exigences environnementales après avoir identifié de nombreux risques comme les impacts massifs sur la biodiversité guyanaise (50% du patrimoine français), l'usage de substances dangereuses (cyanure, explosifs), les impacts sur les populations locales et la forte opposition de la société civile. Après des décisions rendues par les plus hautes juridictions françaises, la Cour administrative d'appel de Bordeaux a confirmé en novembre 2024 la légalité du refus administratif. Cette procédure questionne la capacité des États à redéfinir leurs priorités écologiques face aux engagements contractés dans les traités d'investissement. Trois organisations de la société civile (le Collectif des Premières Nations, l’Organisation des Nations Autochtones de Guyane et Guyane Nature Environnement ) ont déposé des observations en qualité d'amicus curiae le 4 juillet 2025. Découvrez notre communiqué de presse sur cette affaire hors normes en cliquant ici : https://lnkd.in/d4a8kcQc N'hésitez pas à télécharger l'étude de cas pour la consulter plus tard

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    Voir le profil de Mathilde Dupré

    co-directrice chez Institut Veblen | Présidente de l'association Communication et Démocratie

    🚨 Saviez-vous que la bataille contre le mégaprojet de mine d'or à ciel ouvert en Guyane n'était pas définitivement gagnée ? 🚨 🧑⚖️ L'Etat français (à qui la justice à donné raison) est maintenant attaqué devant un tribunal d'arbitrage d'investissement par deux sociétés russes. détenues par un oligarque sous sanctions internationales. 🤯 Fait préoccupant : Ces deux holdings sont contrôlées par Alexey Mordashov, un oligarque russe sous sanctions de l’Union européenne depuis 2022. Il détient ainsi la majorité du capital de Nordgold, principal actionnaire de la Compagnie de la Montagne d’Or. 💰 A l'heure où le gouvernement peine à établir un budget équilibré, elles demandent 4,5 milliards de dollars de d'indemnisation pour l'abandon du projet. Cette procédure, initiée en 2021, sur le fondement du traité bilatéral d'investissement France-Russie de 1989, intervient à la suite du retrait du soutien du Gouvernement français à ce projet, jugé en 2019 par le Conseil de défense écologique incompatible avec les exigences environnementales fixées par l’exécutif. 📩 Le 4 juillet 2025, trois organisations de la société civile (le Collectif des Premières Nations, l’Organisation des Nations Autochtones de Guyane et Guyane Nature Environnement ) ont déposé des observations en qualité d’amicus curiae auprès du Tribunal arbitral . ⚠️ À noter : en juin, ce même tribunal avait rejeté sans justification les demandes de contribution de WWF-France, de l’Veblen Institute for Economic Reforms et de Notre Affaire à Tous. 👉 Lire notre étude de cas plus détaillée sur cette affaire (lien en commentaire) Pascal Canfin Marie-Pierre Vedrenne Aurore Lalucq Raphaël Glucksmann Valérie Hayer François-Xavier Bellamy Marie Toussaint Majdouline Sbaï Aurélie Trouvé Laurent Saint-Martin Agnès Pannier-Runacher Eric Lombard Jean-Noël Barrot Manuel Valls Emmanuel Macron François Bayrou Sandrine Le Feur Delphine Batho François Ruffin Antoine Vermorel-Marques

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  • Quels sont les ressorts politiques de l'opposition à la transition écologique ? Au lendemain du vote mortifère de la "loi Duplomb", symbolisant le “backlash écologique” mené par la droite et l’extrême droite, soutenu par le centre que nous vivons actuellement, Dominique Méda dans sa dernière tribune publiée dans Le Monde propose une grille de lecture nouvelle sur les raisons qui permettent à ces partis politiques de mener une bataille contre la transition écologique et la lutte contre le changement climatique. Cette tribune interroge les fondements idéologiques qui permettent à certains responsables politiques d'adopter des positions contraires aux enjeux climatiques actuels. Une réflexion nécessaire pour comprendre les dynamiques politiques contemporaines autour des questions environnementales, à découvrir dans la tribune complète 👉 https://lnkd.in/dqyPD7ny

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    Sur le plateau de BFM Business, Jézabel Couppey-Soubeyran conseillère scientifique de l'Institut Veblen, alerte : « La frontière entre simplification et dérégulation financière est très fine […] à la Commission européenne on parle beaucoup de « simplification nécessaire ». N’est-ce pas une façon d’impulser en Europe une dérégulation financière ? Je pense qu’on peut se poser la question.» Comment faire face aux pressions en faveur de la dérégulation des grandes puissances étrangères et européennes ? 🎥 Voir ou revoir l’intervention complète ici : https://lnkd.in/eUaA5mvH

  • Sur le plateau de BFM Business, Jézabel Couppey-Soubeyran conseillère scientifique de l'Institut Veblen, alerte : « La frontière entre simplification et dérégulation financière est très fine […] à la Commission européenne on parle beaucoup de « simplification nécessaire ». N’est-ce pas une façon d’impulser en Europe une dérégulation financière ? Je pense qu’on peut se poser la question.» Comment faire face aux pressions en faveur de la dérégulation des grandes puissances étrangères et européennes ? 🎥 Voir ou revoir l’intervention complète ici : https://lnkd.in/eUaA5mvH

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