💬 1 Français·e sur 6 est proche aidant·e, et parmi eux, 61 % exercent une activité professionnelle. Près de la moitié rencontrent des difficultés à concilier ce rôle avec leur travail, et 62 % ont déjà connu un épuisement intense (source : Guide ministériel du proche aidant, 2021). Chez Greenpeace France, nous faisons de ce sujet un enjeu humain et professionnel à part entière. 🫶 Pour soutenir nos salarié·es concerné·es, nous avons mis en place une politique dédiée avec : - Des aménagements personnalisés, comme un temps partiel jusqu’à 80 % avec maintien de 100 % de la rémunération pendant 3 mois - La possibilité d’un télétravail étendu jusqu’à 80 % du temps de travail - 6 jours de congés "proche aidant·e" par an, fractionnables - Un fonds de solidarité permettant de recevoir jusqu’à 20 jours/an de congés ou RTT donnés - Un référent RH dédié et un dispositif de soutien psychologique - Des formations pour les managers et sessions de sensibilisation pour toutes et tous - Une communauté de pairs pour échanger et se soutenir, Et bien d'autres aménagements et ressources pour accompagner au mieux nos salarié·es concerné·es. 🎯Notre objectif : permettre à chacun·e de concilier engagement personnel et vie professionnelle, dans un cadre respectueux, solidaire et adapté aux besoins des proches aidant·es.
À propos
Greenpeace France est une organisation indépendante des Etats, des pouvoirs politiques et économiques qui agit selon les principes de non-violence pour protéger l’environnement, la biodiversité et promouvoir la paix. Elle s’appuie sur un mouvement de citoyennes et citoyens engagé-e-s pour construire un monde durable et équitable. Greenpeace est présente dans 55 pays, sur tous les continents et tous les océans grâce à ses 28 bureaux nationaux et régionaux et ses trois bateaux. Elle compte plus de trois millions d'adhérent-e-s, dont 230 000 en France, et plus de 36 000 bénévoles à travers le monde. Nous voulons vivre dans un monde en paix, qui respecte l’environnement et toutes les formes de vie. Nous plaçons le pouvoir citoyen au cœur de nos campagnes en donnant une résonance au travail de toutes celles et tous ceux qui partagent notre vision, nos espoirs et notre conviction qu’un monde meilleur est possible. Nous sommes convaincus que chacun peut apporter sa pierre à l’édifice, qu’ensemble et avec nos alliés, nous pouvons changer un système qui repose trop souvent sur l’oppression, les inégalités et la cupidité d’un petit nombre. Nous voulons agir sur les causes des atteintes à l’environnement, des inégalités et des conflits.
- Site web
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https://www.greenpeace.fr/
Lien externe pour Greenpeace France
- Secteur
- Organisations civiques et sociales
- Taille de l’entreprise
- 51-200 employés
- Siège social
- Paris
- Type
- Non lucratif
- Domaines
- association, environnement, paix, ONG, greenpeace et militant
Lieux
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Principal
Paris, FR
-
13 Rue d'Enghien
75010 Paris, IdF, FR
Employés chez Greenpeace France
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David Cadusseau 🐲
Designer indépendant depuis 20 ans (135 projets) I Je vous aide à concilier au mieux votre produit avec votre marché I Artisan du numérique I XP…
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Jean-Francois Julliard
Jean-Francois Julliard est un Influencer Executive Director for Greenpeace France
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Barbara Kadji
Directrice conseil éditorial en charge des projets jeunesse
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susanna dell'orto
Responsable Philanthropie
Nouvelles
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Aujourd’hui, 10 juillet 2025, nous commémorons un triste anniversaire... Celui de la mort d'un de nos militants, le photographe Fernando Pereira, tué lors d’un attentat commis par les services secrets français contre le navire emblématique de Greenpeace, le Rainbow Warrior, il y a 40 ans très exactement. C'est un triste anniversaire mais le meilleur hommage que nous pouvons rendre à Fernando est de poursuivre notre engagement pour l'environnement et la paix, avec force, détermination et courage. Quarante ans plus tard, ce ne sont plus les bombes mais d’autres méthodes qui sont utilisées pour tenter de faire taire les voix dissidentes : poursuites-bâillons (comme celle intentée par le géant du pétrole, Energy Transfer, qui a obtenu la condamnation de Greenpeace aux USA et Greenpeace International à lui verser 660 millions de dollars), criminalisation des militants et militantes, arsenal répressif, y compris en France. Face à ces nouvelles tentatives d’intimidations, de nombreuses organisations, associations, syndicats, lanceuses et lanceurs d’alerte, collectifs citoyens, militantes et militants, citoyennes et citoyens nous ont rejoint pour cosigner une tribune dans le Nouvel Obs (voir lien en commentaire) dénonçant la dérive autoritaire et la multiplication des attaques contre les libertés et les droits humains. Derrière chaque militante et chaque militant réprimé, hier comme aujourd'hui, c’est une part de notre démocratie qui vacille. Ensemble, continuons de relever la tête et de résister. Aucune bombe, aucun procès, aucune attaque ne nous fera taire. Merci à Climate Whistleblowers VoxPublic (association) Oxfam France Alternatiba Réseau Action Climat alertes.me La Cimade Fonds pour une Presse Libre Les Amis de la Terre France AequitaZ France Seastemik Zero Waste France foodwatch France GreenFaith ACTION CONTRE LA FAIM SMA - Syndicat des Musiques Actuelles SAF Syndicat des Avocats de France UFISC ALOFA TUVALU French Whistleblower Center (Maison des Lanceurs d'Alerte) ACTION NON VIOLENTE COP 21 BLOOM Association ~ le mouvement International Federation of Journalists Reclaim Finance - ONG Amnesty International France Notre Affaire à Tous PLATEFORME DE PROTECTION DES LANCEURS D'ALERTE EN AFRIQUE Action Justice Climat Paris @association-sherpa Urgence Palestine
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📻 C’est une actu qui a moins fait parler que le départ de Léa Salamé de la matinale de France Inter mais qui va pourtant chambouler le paysage informationnel en France : à partir de la rentrée, l’émission Secrets d’info va quasiment disparaître de nos antennes. L’émission d’investigation, à l’origine des révélations sur le scandale sanitaire de la fraude aux eaux minérales Nestlé, ou encore sur l’Abbé Pierre, était suivie de plus d’un million d’auditeur·ices chaque semaine, qui venaient chercher là une information fouillée, fiable. Au lieu d’une quarantaine d’enquêtes par an, ils et elles devront désormais se contenter d’une dizaine, puisque la direction de la chaîne a décidé de passer l’émission à un rythme mensuel plutôt qu’hebdomadaire. Une décision plus qu’incompréhensible et qui ne saurait être expliquée par un simple besoin de renouvellement des programmes de la chaîne, surtout lorsqu’on considère le rôle de contre-pouvoir essentiel que remplit l’investigation au sein de notre société, traversée par des crises de toutes parts et de plus en plus en proie aux intérêts privés. 🍃 Et ça ne s’arrête malheureusement pas là : dès la rentrée prochaine, le temps d’antenne de La Terre au Carré, émission consacrée aux grands enjeux environnementaux et qui rencontrait également un franc succès, va aussi être revu à la baisse. L’écologie en prend un coup, et ça, on n’en avait vraiment pas besoin non plus en ce moment… On en vient à se questionner sérieusement sur ce à quoi ressemblera l’audiovisuel public en France dans quelques années si on continue sur cette voie. En attendant, on ne peut qu’apporter notre soutien aux équipes et journalistes impacté·es et espérer que la direction de Radio France revienne sur sa décision. Pour lire la lettre ouverte de l’équipe de la cellule investigation de Radio France à Sibyle Veil, la Présidente de la société 👉 https://lnkd.in/e3UuJzgd
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Aujourd’hui, s’ouvre une audience historique. Pour la première fois, la nouvelle directive européenne anti procédures-bâillons va être invoquée, à l’initiative de Greenpeace International qui conteste devant un tribunal aux Pays-Bas la procédure-bâillon intentée par Energy Transfer, un géant du pétrole. Rappel : en mars dernier, des entités de Greenpeace aux USA et Greenpeace International ont été condamnées par un jury de l’État du Dakota du Nord à verser plus de 660 millions de dollars à Energy Transfer, pour avoir soutenu la lutte de communautés autochtones contre un projet d’oléoduc. On vous partage un message de Mads Christensen, directeur général de Greenpeace International : « Tous les droits dont nous bénéficions aujourd’hui sont le fruit de la lutte de celles et ceux qui ont exigé le droit de vote, malgré les dangers, des travailleur·euses qui ont demandé la dignité, alors qu’ils pouvaient tout perdre, des populations qui ont réclamé justice, même si leur victoire semblait impossible. Nous vivons des heures décisives. Le monde subit d’importants changements. La question est : quels changements voulons-nous exactement ? Des guerres, des feux, des famines, des libertés bafouées…On dirait que notre système ne fonctionne plus. Mais en vérité, notre système fonctionne exactement comme prévu. Les puissants et leurs empires ont écrit les règles de ce système, et veulent réduire au silence quiconque voudrait les remettre en cause. Mais ils sont aussi inquiets. Car ils savent que nous sommes plus nombreux·euses qu’eux. Lorsque nous nous soulevons, comme nous sommes déjà des millions à le faire, leur pouvoir se fissure et notre courage devient contagieux. À nous d’agir maintenant. Je m’adresse à chaque entreprise, milliardaire, responsable politique qui voudrait nous museler. Nous n’avons pas peur. Nous ne reculerons pas. Nous sommes des millions. Nous résisterons devant les tribunaux, dans les rues, sur notre lieu de travail. Vous avez l’argent. Nous avons la force du nombre. Nous voulons un système qui fonctionne pour tout le monde. Et c’est aujourd’hui que nous commençons à le bâtir. »
Today marked the opening of the anti-intimidation lawsuit Greenpeace International has filed against Energy Transfer in Dutch court. Yes, this is the company demanding hundreds of millions from us and Greenpeace in the US for showing solidarity with the ongoing Indigenous-led resistance against the Dakota Access Pipeline. Energy Transfer would like us – and all climate activists – to be scared and shut up. They want us silent. Hopeless. Intimidated. So I say this to every company, every billionaire, every politician trying to silence the voice of the people. We are not intimidated. We are not backing down. And we are not alone. You may have the money. But we, the people, have the movement. It is #TimetoResist
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C'est avec une profonde tristesse que nous avons appris ce week-end le décès de Rémi Parmentier, inlassable compagnon de route de Greenpeace et des organisations de protection de l’environnement. Rémi Parmentier a été l’un des fondateurs de Greenpeace France, à la fin des années 70. 🌊 Je me souviens encore de lui au sommet SOS Océans, à Paris, au mois de mars dernier, m’expliquant les derniers rebondissements autour de la ratification du traité de la haute mer. ☮️ Lorsque j’ai pris mes fonctions, en 2012, il faisait partie de la poignée de pionniers de Greenpeace qu’il fallait impérativement rencontrer pour comprendre cette organisation. Je l’ai fait et découvert à cette occasion mille histoires et anecdotes autour du traité de protection de l’Antarctique notamment. J’ai aussi mieux compris, grâce à lui, l’histoire tumultueuse de Greenpeace France dans les années 80, avant et après le sabotage du Rainbow warrior par l’Etat français. Au cours des années de son parcours au sein de Greenpeace, il a été l’un des artisans de nos campagnes sur l’opposition au déversement en mer de déchets nucléaires ou la chasse à la baleine. Son travail a contribué à sensibiliser le public, mais a aussi permis des changements politiques significatifs. Il a participé à d'innombrables rounds de négociations de traités et conventions internationales, plaidant sans relâche pour une action efficace et durable en faveur du climat et des océans. Après avoir quitté l’organisation, Rémi a cofondé le The Varda Group, aux côtés d’anciens compagnons de Greenpeace, où il a poursuivi son combat pour la protection des océans notamment. Décédé le 26 juin 2025, Rémi laisse derrière lui un engagement indéfectible en faveur de la préservation de notre planète et, plus particulièrement, de nos océans. Nous nous souviendrons de lui et avons une pensée pour sa famille, ses enfants et ses proches. La photo prise par Pierre Gleizes date de 1984. Rémi Parmentier est à bord du Sirius et s'adresse à un baleinier russe. © Pierre Gleizes / Greenpeace
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📍 Un message de retour de Bonn 8 personnes sur 10, en France, et à travers le monde, veulent que les entreprises fossiles paient pour les dégâts climatiques qu’elles causent. C’est clair, net, sans appel. Ce chiffre, tiré d’un sondage international publié il y a quelques jours par Greenpeace International et Oxfam, montre une exigence massive de justice climatique et fiscale. Un consensus qui dépasse les clivages politiques et les frontières : les pollueurs doivent payer leur part. 167 000 personnes ont signé en quelques semaines la pétition de Greenpeace pour faire payer les entreprises polluantes. Et pourtant, ici à Bonn, les négociations ont patiné. Les pays développés, dont la France, prétendent ne pas avoir les moyens de financer l’adaptation des pays les plus touchés. Mais l’argent existe : les géants du pétrole, du gaz et du charbon ont engrangé 583 milliards de dollars de bénéfices en 2024. 💡 Les solutions sont connues. Le soutien populaire est écrasant. Ce qui manque, c’est la volonté politique. À l’approche de la Conférence de Séville sur le financement du développement (FfD4), la France a une responsabilité particulière. Impliquée dans la Global Solidarity Levies Task Force, elle se prétend championne d’une finance climat plus équitable. Mais pour l’instant, ce discours ne se traduit pas en actes. Le gouvernement français doit porter haut et fort l’idée d’une taxation des entreprises fossiles, en France comme à l’international : ➡️ en faisant payer les pollueurs fossiles au niveau national, ➡️ en passant à l’acte avec ses partenaires de la Global Solidarity Levies Task Force, ➡️ en défendant un signal fort à la COP30 notamment dans la feuille de route Baku to Belem, ➡️ en s'engageant pleinement dans les négociations à venir pour une Convention fiscale à l’ONU. 🌍 Les citoyen·nes ont parlé. A Paris comme à Séville, il est temps de les écouter. #MakePollutersPay #SB62 Photos © Marie Jacquemin / Greenpeace Conférence de presse avec mes collègues Yao Zhe (Greenpeace Chine), Camila Jardim (Greenpeace Brazil), John Noël (Greenpeace USA) ; la délégation Greenpeace à Bonn ; Kathy Jetn̄il-Kijiner, Ambassadrice climat pour les Iles Marshall, en soutien du Polluters Pay Pact.
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📉 Aujourd’hui, la France pourrait devenir l’un des pays les plus rétrogrades d’Europe en termes d’action climatique. Après des semaines de reculs sur la qualité de l’air, la protection de la biodiversité et des sols, la consultation des citoyen·nes sur l’environnement et la rénovation thermique des bâtiments, tout ça sur fond de baisse des crédits pour l’écologie, le Parlement pourrait décider d’un moratoire sur les énergies renouvelables (éolien et solaire). Le vote solennel de la programmation énergétique à l’Assemblée pourrait en effet aboutir à une telle décision. L’amendement prévoyant ce moratoire a été adopté le 19 juin lors d’une séance dans un hémicycle bien dégarni, à l’exception des rangs de la droite et de l'extrême-droite. 🚨 Il est essentiel de rappeler que les différents scénarios du GIEC qui dessinent les trajectoires possibles de lutte contre le réchauffement climatiques intègrent tous une réduction drastique des énergies fossiles (gaz, pétrole et charbon). Certains indiquent également une réduction du nucléaire quand d’autres évoquent une augmentation. En revanche, AUCUN scénario n’évoque la possibilité d’atteindre nos objectifs climatiques en réduisant la part des renouvelables dans la production d’électricité ! En France, la part de production d’électricité à base de nucléaire est déjà la plus importante dans le monde, soit 67% en 2024 d’après RTE. Aucun plan de construction de nouvelles centrales ne viendra augmenter cette part. Les réacteurs qui sortiront (peut-être) de terre à l’horizon 2038-2040 viendront remplacer les unités vieillissantes actuelles. Décider d’un moratoire sur les renouvelables c’est à coup sûr favoriser la construction de nouvelles centrales thermiques au gaz ou au charbon pour gérer l’augmentation de la consommation d’électricité. Et donc augmenter nos émissions domestiques de gaz à effet de serre, là où la science nous commande d’accélérer leur baisse d’ici 2030. C’est une aberration énergétique, économique et environnementale. Aucun expert ne soutient une telle approche. Les syndicats dans le secteur des renouvelables craignent un plan social sans précédent en cas d’adoption du moratoire. 🏛️ Catastrophique sur le plan climatique et pour les emplois en France, on se demande bien quel·le député·e un tant soit peu responsable pourrait voter un tel texte ? Dans tous les cas, on va scruter les résultats du vote avec attention.
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🔴 "L'inaction climatique est une arme de destruction massive." Cette phrase n'est pas la mienne, c'est celle d'Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, ce matin, en réaction à l'étude publiée par Copernicus indiquant le dépassement des +1,5 °C de réchauffement climatique dans 3 ans. Mais qui est responsable de cette inaction climatique, madame la Ministre ? La France ne peut certainement pas se considérer comme un bon élève. L’INSEE anticipe déjà une baisse des émissions de gaz à effet de serre en 2025 très loin des objectifs que la France devrait atteindre, après une année 2024 déjà en retrait (1,8 %), information confirmée par le Citepa il y a quelques jours. Pour rappel, pour atteindre ses objectifs climat 2030, la France doit baisser ses émissions de 4,7 % en moyenne chaque année. Agnès Pannier-Runacher, contredisant Emmanuel Macron qui se satisfaisait encore de la trajectoire française de réduction des émissions sur TF1 le mois dernier, a été obligée d'admettre qu'elle n’est “pas aussi soutenue qu’elle devrait l’être”. 📉 Depuis des années, les alertes se succèdent. Pourtant, les engagements concrets tardent à venir, et pire encore, les reculs environnementaux se multiplient. Hier encore, "bloc central", droite et extrême droite ont adopté ensemble une loi de simplification qui facilite l’artificialisation des sols et l’implantation de nouveaux data-centers très énergivores. C'est une véritable offensive climatosceptique à laquelle se livrent ces responsables politiques ! 🎯 Chaque dixième de degré compte ! Ce n’est pas un détail : c’est la différence entre des territoires vivables ou non. Entre un monde où l’on peut s’adapter, et un monde où des points de bascule sont franchis. Il est encore temps d’agir. Mais il faut des décisions à la hauteur. ✔️ Interdire les projets incompatibles avec nos engagements climatiques. ✔️ Protéger les forêts et les écosystèmes, puits de carbone indispensables. ✔️ Sortir des énergies fossiles, qui représentent encore 86 % des émissions mondiales de CO₂. À l’approche de la COP30 au Brésil, il est plus que jamais urgent de placer la science et la justice climatique au cœur des politiques publiques. 🌍 Agir aujourd’hui, c’est éviter le chaos demain.
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🌈 Qui dit mois de juin, dit mois des fiertés ! À cette occasion, nous avons eu le plaisir d’accueillir Léon Salin chez Greenpeace France pour un temps d’échange et de sensibilisation autour de la transidentité. L’association Salin œuvre pour une meilleure compréhension des identités trans et plus largement des diversités LGBTQIA+🏳️🌈 🔍 Mais au fait, qu’est-ce que la transidentité ? La transidentité désigne les personnes dont l'identité de genre ne correspond pas au sexe assigné à la naissance. Elle bouscule la vision binaire du genre en reconnaissant un spectre plus large d’identités : transgenres, non binaires, genderfluid… (source : Cali et Gali) 📊 Quelques chiffres clés : - Les personnes transgenres sont 8 fois plus exposées au risque de suicide que la population générale. - 80 % ont subi des discriminations transphobes au cours de leur vie. - 1 personne trans sur 3 a déjà perdu un emploi en raison de son identité de genre. - 16 % des entreprises déclarent qu’elles éviteraient d’embaucher une personne transgenre. (source : Association Salin) 📚 Pour aller plus loin, nous vous recommandons vivement le livre de Léon Salin : « D’un monde à l’autre – Une histoire de transition de genre ». Chez Greenpeace France, nous sommes convaincu·es que l’inclusion est indissociable de l’écologie et de la justice sociale. ✊🌍
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🌊 C'est de pire en pire. Quand je raccroche avec Philippe, militant du groupe local de Greenpeace Nice, je n'en reviens pas. Dans le cadre du sommet pour l'océan (#UNOC), les militants ont subi une répression disproportionnée pour de simples messages à la craie. Rendez-vous compte ! Pour des tags effaçables à l'eau, destinés à sensibiliser à la protection de l'océan, ils ont subit près de 20h de garde à vue sans avertir leur avocate, et des perquisitions à domicile 😤 Et cette tentative d'intimidation s'est également assortie d'une exclusion, en dernière minute, de l'emblématique bateau de Greenpeace, interdit d'accoster à #Nice, et évincé de la parade d'ouverture en représailles politiques. Dire que l'on veut agir de toute urgence pour l'océan, reconnaître son importance et la criticité de la situation, tout en faisant taire ceux qui s'engagent pour le défendre, c'est une sacrée hypocrisie ! Et la répression des défenseurs de l'environnement s'accentue ces derniers temps, loin des projecteurs (cf les articles régulier de Reporterre 🌍 | Le média de l'écologie ou Vert, le média qui annonce la couleur 💚 sur le sujet). C'est de pire en pire, mais on peut agir. C'est ce que nous faisons à notre échelle avec la plateforme de mobilisation citoyenne #GreenVoice avec Jean-Baptiste Paulhet et Sébastien Jaillard. Nous accompagnons celles et ceux qui agissent et défendent un monde plus juste et durable. 👉 Pour soutenir les militants de Greenpeace et défendre la liberté de protéger l'océan, signez la pétition de Philippe ! https://lnkd.in/eCrzgUki
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