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Agence nationale de sécurité sanitaire - Anses

Agence nationale de sécurité sanitaire - Anses

Administration publique

Maisons-Alfort, Ile de France 91 769 abonnés

Pour un monde plus sûr, plus sain, pour tous.

À propos

Nous sommes l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. Notre rôle ? Apporter les repères scientifiques utiles aux décideurs publics pour mieux protéger notre santé, celle des animaux celle des plantes et des écosystèmes. Comment ? Par nos activités de recherche, de surveillance et d’évaluation des risques, et en faisant des recommandations aux pouvoir publics y compris en cas de crise sanitaire. Nos principes d’actions : • Approche globale des risques • Excellence scientifique • Transparence & indépendance • Ouverture & dialogue avec la société Chiffres clés : • 1400 collaboratrices et collaborateurs • Plus de 800 experts indépendants mobilisés chaque année • 9 laboratoires de recherche et de référence répartis sur le territoire français • 5 dispositifs de vigilance Alors que les évolutions du climat, des technologies et nos choix de société font émerger des menaces nouvelles, nous contribuons chaque jour à mobiliser la science pour un monde plus sûr, plus sain, pour tous. Vous pouvez également nous suivre sur Twitter, Facebook et YouTube. 

Site web
https://www.anses.fr
Secteur
Administration publique
Taille de l’entreprise
1 001-5 000 employés
Siège social
Maisons-Alfort, Ile de France
Type
Administration publique
Fondée en
2010
Domaines
Santé Travail, Environnement, Médicament vétérinaire, Produits phytopharmaceutiques, Biocides, Evaluation des risques, Santé des végétaux, Santé animale, Bien-être animal, Substances chimiques, Alimentation, Recherche et Sécurité sanitaire

Lieux

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Nouvelles

  • Agence nationale de sécurité sanitaire - Anses a republié ceci

    Voir la Page de l’organisation de CSTB

    62 559  abonnés

    🏠 Qualité de l’air intérieur : où en sommes-nous en 2025 ? L’Observatoire de la Qualité des Environnements Intérieurs (#OQEI), porté par le CSTB et l’Agence nationale de sécurité sanitaire - Anses, dévoile les premiers résultats de la 2ème campagne nationale logements (CNL2). 📊 Plus de 170 polluants mesurés dans les logements en France hexagonale 15 ans après la première campagne. Ce premier rapport se concentre sur : ✔ les composés organiques volatils (COV) et semi-volatils (COSV) ✔ le dioxyde d’azote (NO₂) ✔ les particules fines (PM2,5) ✔ le radon Une étude rigoureuse (571 logements/321 communes/1 516 individus interrogés) réalisée par le CSTB et validée par le Conseil scientifique de l’OQEI, qui offre un éclairage précieux sur l’évolution de notre environnement intérieur. Cette campagne nationale logements a été financée par la Direction générale de la prévention des risques – DGPR, la Direction Générale de la Santé - DGS, la Direction de l'Habitat et de l'Urbanisme et des Paysages (DHUP), l’ADEME, Santé publique France, et l’Anses 🙏 En savoir + 👉 https://lnkd.in/eaG3T9NC   #QualitéAirIntérieur #SantéEnvironnementale #CNL2 #Logement

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  • 67 espèces de poissons à risque de ciguatera dans les Antilles françaises. 🐟 Nous les avons listées afin de prévenir ces intoxications. Ces espèces à risque appartiennent principalement aux familles de poissons mérous, carangues ou sérioles, vivaneaux. Nous recommandons que cette information soit largement diffusée auprès des consommateurs, qu’ils soient résidents ou en vacances, et des pêcheurs. Nous avons pu établir cette liste à partir de l’analyse d’échantillons de poissons associés à des intoxications humaines et d’une analyse de la littérature scientifique. Ces échantillons ont été collectés par la DGAL, Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, en lien avec notre Laboratoire national de référence « Biotoxines marines » entre 2002 et 2021. Ils ont également été analysés par le laboratoire du Service commun des laboratoires (SCL) de Marseille, pour identifier - par analyse ADN - l'espèce de poisson impliquée dans l’intoxication.

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  • Les récentes contaminations dans l’Aisne rappellent qu’𝘌𝘴𝘤𝘩𝘦𝘳𝘪𝘤𝘩𝘪𝘢 𝘤𝘰𝘭𝘪 peut avoir des conséquences graves. 🔎 Les personnes sensibles, enfants de moins de 15 ans, personnes âgées ou immunodéprimées, sont particulièrement à risque. Pour aider les professionnels de la filière agroalimentaire à maîtriser la sécurité sanitaire des produits et à rédiger des guides de bonnes pratiques d'hygiène, nous mettons à leur disposition des fiches de description des dangers biologiques transmissibles par les aliments. Nous avons récemment mis en ligne la fiche mise à jour sur 𝘌𝘴𝘤𝘩𝘦𝘳𝘪𝘤𝘩𝘪𝘢 𝘤𝘰𝘭𝘪 producteurs de shigatoxines (STEC) /Escherichia coli entérohémorragiques (EHEC). La bactérie est naturellement présente dans le tube digestif des ruminants, notamment les bovins. Le respect des règles d’hygiène pour limiter la contamination lors de l’abattage des animaux, de la traite et de la transformation des denrées alimentaires est donc primordial. De même, le respect de la réglementation sur les pratiques d’épandage et la protection des ressources naturelles en eau contre leur contamination par des déjections animales sont essentiels. Les consommateurs sont également acteurs de la prévention. Il est notamment recommandé de : 👉 se laver soigneusement les mains après être allé aux toilettes, avant la préparation et la prise des repas, 👉 laver soigneusement et éplucher si possible les légumes, fruits et herbes aromatiques, en particulier s’ils sont consommés crus. Pour les personnes sensibles : 👉 cuire à cœur les viandes hachées et les produits à base de viande hachée, 👉 éviter la consommation de lait cru et de produits au lait cru (sauf les fromages à pâte pressée cuite), ainsi que de produits crus ou insuffisamment cuits à base de farine. Pour consulter la fiche de danger ⬇ Le lien est également disponible en commentaire.

  • L’encéphalite à tiques suscite une préoccupation croissante en France : 📈 Depuis 2020, des cas dus à la consommation de produits au lait cru contaminés sont survenus en France, en plus de ceux dûs à la transmission par des piqures de tiques, • une extension géographique en dehors de la zone de présence historique du virus est observée, • le nombre de cas augmente en France et en Europe. Actuellement, seule une trentaine de cas sont signalés chaque année en France mais la maladie peut avoir des conséquences importantes, avec dans les cas les plus graves, des signes neurologiques de type méningite et des séquelles à long terme pouvant entraîner une perte d’autonomie. Nos recommandations pour lutter contre l’encéphalite à tiques : 👉 surveiller, en plus des cas humains, la contamination d’espèces animales sentinelles domestiques et sauvages, des produits laitiers et des tiques, pour mieux connaître les zones ou les élevages infectés, 👉 limiter l’exposition des ruminants producteurs de lait aux tiques, via l’installation de clôtures empêchant les contacts avec les zones les plus favorables aux tiques ou par la rotation des pâtures. 👉 dans les situations d’urgence, pasteuriser le lait 👉 Pour éviter les piqûres de tiques, porter des vêtements longs, notamment en forêt. 👉 mieux informer la population générale, les professionnels de santé et les travailleurs les plus exposés, comme les forestiers et les éleveurs, du risque et des symptômes, 👉 Mener des recherches pour mieux connaître les souches circulant en France, les facteurs de risque de transmission et l’impact des composants du lait et de ses procédés de transformation sur la persistance de virus infectieux. 👉 Améliorer les outils de détection du virus de l’encéphalite à tiques chez l’être humain, les animaux et dans les produits laitiers.

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  • Science ouverte et transparence des financements accordés : nous nous y engageons depuis plusieurs années. Nous avons mis en place plusieurs actions : 👉 Pour faciliter l’accès aux résultats de la recherche, nous venons de déployer un portail dédié au Programme national de recherche Environnement-Santé-Travail (PNR EST) dans l’archive ouverte HAL. Il permet de consulter les publications des projets qui ont été financés par le programme. 👉 Nous mettons à disposition chaque année sur la plateforme data.gouv.fr les jeux de données concernant les projets et les partenaires financés par le PNR EST, 👉 Enfin, nous recommandons aux bénéficiaires d’utiliser le modèle de plan de gestion de données « Science Europe : modèle structuré » proposé par DMP OPIDoR, un outil d’aide à la création en ligne de tels plans. Celui-ci dispose d’une fonctionnalité qui permet de récupérer automatiquement les données renseignées dans Data.gouv, simplifiant ainsi les démarches des chercheurs. Un plan de gestion de données permet de définir comment les données des projets sont collectées, stockées et utilisées. Pour en savoir plus, consultez le lien en commentaire. INIST-CNRS #Data #scienceouverte

    • Image annoncant "PNR EST : 
l’Anses poursuit l’ouverture des données sur les projets qu’elle finance"
  • Notre rapport annuel 2024 est disponible ! Un concentré de nos actions les plus récentes face aux risques auxquels les santés humaine, animale et végétale sont exposées. En 2024, dans un environnement complexe et incertain, nous avons poursuivi notre mission au service d’une seule santé grâce à l’engagement constant de nos équipes et de nos collectifs d’experts scientifiques. En huit chapitres, le rapport « Face aux risques » revient sur nos travaux les plus déterminants et nos apports les plus significatifs sur les défis sanitaires majeurs. A parcourir aussi, nos trois rapports thématiques centrés sur nos fonctionnements et activités en matière de : 👉 produits phytopharmaceutiques et matières fertilisantes, 👉 produits biocides, 👉 biotechnologies. https://swll.to/DQnTc

  • 🎉La 10e édition de I3S Congress bat son plein à Saint-Malo ! 🌊🔬 Cette semaine, le Palais du Grand Large accueille un événement scientifique majeur : le Symposium International Salmonella et Salmonellose (I3S), que nous coorganisons. Nous sommes historiquement impliqué dans sa création depuis 1992, en partenariat avec INRAE, Institut Pasteur, Santé publique France, INNOZH .   🎯 Objectif ? Mieux comprendre et contrôler Salmonella, un pathogène qui reste un enjeu mondial de santé publique, affectant humains, animaux, plantes et environnement. 🧬 De l’épidémiologie à la génomique, de la traçabilité aux stratégies de prévention, toutes les facettes du sujet seront abordées ! 👏 Cette année marque un record de participation : 300 scientifiques venus du monde entier sont attendus pour partager leurs recherches, leurs expériences et faire émerger de nouvelles collaborations. ✨ À la présidence de ce congrès : Marianne Chemaly, Directrice Scientifique de l’axe Sécurité Sanitaire des Aliments à l’Anses, accompagnée d’une équipe investie : Christophe Cordevant, Bertrand Lombard, Laurent Guillier et Annaëlle KEROUANTON - LE GALL. 🎤 Gilles Salvat, Directeur Général Délégué Recherche et Référence de l’Anses, a ouvert le congrès avec un discours engageant, marquant l’importance de cet événement pour la recherche et la santé publique. 📢 Une douzaine d’agents de l’Anses partagent leurs travaux sous forme de communications orales ou affichées, reflet de notre engagement scientifique fort et continu. 💬 Comme à chaque édition, nous espérons que ce symposium sera un catalyseur d’échanges fructueux, de débats passionnés et un véritable tremplin pour faire avancer la science et la santé publique mondiale. #I3SCongress #Salmonella #SantéPublique #SécuritéSanitaire #Anses #SaintMalo2025

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  • 🧃 Bouteille en verre ou en plastique, canette ou brique : une étude sur la présence de microplastiques dans les boissons ! Nos scientifiques du Laboratoire de sécurité des aliments, sur le site de Boulogne-sur-Mer ont mené une étude inédite sur la présence de microplastiques dans les boissons vendues en France. Surprise : les boissons conditionnées dans des bouteilles en verre contiennent plus de microplastiques que celles dans des bouteilles en plastique, des canettes ou des briques. Ainsi, les colas, limonades, thés glacés ou bières notamment contiennent 5 à 50 fois plus de microplastiques dans les bouteilles en verre que dans les autres contenants. L’origine probable est la peinture des capsules métalliques des bouteilles. Celle-ci libérerait des particules de plastique microscopiques lors des frottements entre les capsules avant la fermeture des bouteilles. Nous avons testé des mesures de nettoyage des capsules qui pourraient permettre aux industriels de réduire sensiblement cette contamination. Ce travail, mené dans le cadre d’une thèse co-financée par l’Anses et la Région Hauts-de-France , contribue à mieux comprendre les sources de contamination par les microplastiques et à identifier des solutions concrètes. Pour en savoir plus sur cette étude : https://lnkd.in/edpqhBER

    • Les boissons dans des bouteilles en verre contiennent plus de microplastiques que dans d’autres contenants
  • Notre laboratoire de Fougères fête ses 50 ans ! 🎉 D’abord spécialisé dans les risques liés aux médicaments vétérinaires et leurs résidus, ses missions se sont étendues aux contaminants chimiques dans les aliments. Étude de l’exposome, exploitation des données massives, tests sur des cultures cellulaires et des organoïdes, modélisations informatiques… Fort de son expertise acquise au fil des ans, le laboratoire développe de nouvelles approches pour mieux identifier les risques toxicologiques d’origine alimentaire.🔍 Retour sur les 50 ans du laboratoire de Fougères. Cliquez sur le lien en commentaire.👇

    • « Nous développons de nouvelles approches méthodologiques pour détecter les risques chimiques émergents dans les aliments. »
Tahar Ait Ali, directeur du Laboratoire de Fougères de l’Anses.

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